Corky is back !
Modérateurs : patricia, Didier, photos, photo
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alexnyc1702
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- Inscription : 15 juin 2011, 14:30
Heureusement que mon disque dur est très gros parce que j'ai... 32Go de Vidéos (en HD) et 7Go de photos...
Merci Tiggy ! A peu de choses près, je viens de terminer le récit de notre voyage. Les photos et vidéos sont classées par jour (ça c'est pas moi qui l'ai faitTiggy12 a écrit :je viens de voir que tu avais ouvert ton poste pour votre 2nd séjour !!
bon courage pour le tri et mise en forme, ça prolonge un peu le voyage
vivement qu'on le découvre
). On pense commencer à mettre en ligne dès dimanche (waouh ! quel suspens ! ) 
Mais quand on voit certaines photos de forumeurs, on se dit que les nôtres ne seront pas à la hauteur ! lol ! tant pis, on se lancera quand même !
surtout que pour moi, c'était une première de mitrailler comme ça ! L'an dernier, je n'avais quasiment pas touché à l'appareil photo !
Jeudi 4 août 2011 : la folle traversée
Lever à 6h15. On ne s’est pas endormies avant minuit, donc on est un peu nazes.
On se prépare, petit déjeuner, vidage poubelle, valises dans la voiture. Le timing est bon. On va chercher mon beau-père qui prendra ma voiture à l’arrivée à l’aéroport et la gardera le temps de notre séjour à New-York.
On arrive à l’aéroport à 8h45. Une dame qui fait partie du personnel de l’aéroport nous indique que l’enregistrement Iberia ne se fera pas avant 10h, et que ce n’était pas la peine d’arriver si tôt. Nous avons respecté les consignes et sommes arrivées 3h avant le décollage et on comprend que ce n’était pas la peine de s’être levées si tôt. A 10h15, on passe nos valises à l’enregistrement. 13kg pour ma copine, moi je n’ai pas pensé à demander.
Une dernière petite cigarette pour moi et on passe à la salle d’embarquement. On a l’impression d’être du bétail. Les chaussures de ma copsine bipent. Du bout du hall, une affreuse bonne femme lui hurle « les chaussures ! Dans la machine ! Dans la machine ! » Quelle machine ? La machine, c’est le bac en plastique dans lequel on vide le contenu de nos poches. Super classe. Moi je passe et je bipe aussi. J’ai droit à une palpation en règle, les bras en croix, tripotage de la tête aux pieds. Youpi, on en redemande ! (Pour la petite histoire, déjà l'an dernier j'avais bipé avant le prendre le bateau pour Ellis Island et une grosse dame black m'avait tripotée de la tête aux pieds... Depuis, c'est un véritable fantasme ! )
Nous voilà en salle d’embarquement, il est 11h et nous attendons le vol qui est à 12h.
11h50 : allez, on embarque ! On descend sur le tarmac pour monter dans le petit avion. Tout petit, une cinquantaine de places. Midi pétantes, on n’est toujours pas partis. L’avion est plein, ça y est, on y va, direction Madrid.
12h04, l’avion se met en route. On trottine gentiment jusqu’à la piste de décollage. Le moment que je préfère : quand les pleins gaz sont lâchés, qu’on sent une poussée et hop le décollage qui remue l’estomac. J’adore ! Pour un peu, je prendrais l’avion rien que pour ça ! Depuis que je suis môme, j’adore les décollages d’avions.
On passe au-dessus de l’étang de Berre, les voitures sont minuscules, puis la méditerranée avec tous les bateaux qui attendent pour débarquer leurs cargaisons à Fos. L’avion va à gauche, à droite, à gauche à droite et la grande bleue tout du long.
12h25 : j’ai faim. Et ce n’est pas dans cet avion qu’on va nous donner à manger ! damned ! Ah mauvaise langue que je suis ! l’hôtesse ibère nous distribue des cocas et des fruits secs ! les gobelets sont trop beaux, hop clic clac je les prends en photo (compagnie Mare Nostrum, filiale Iberia).
13h30, on ne comprend rien de ce que dit la belle ibère. Ah si ! Elle parle français finalement ! Bref elle nous informe que l’avion descend (ça on s’en aperçoit) et qu’on ne va pas tarder à atterrir à Madrid.
13h45 on tournicote dans tous les sens pour finir en plein milieu de nulle part. On attend, on descend et un bus Iberia nous amène jusqu’à une porte de l’aéroport. On va déjeuner dans une sandwicherie « Rodilla » pas mauvais. On paye 9,20€ nos 2 sandwiches.
L’aéroport de Madrid fait penser à un centre commercial. Dans la partie centrale, il y a plein de commerces chers, très chers. Je m’achète 2 petites bricoles. Après on va prendre 2 Sundays au Mc Do, et un café chez Vineo.
Alors évidemment, après le café, j’ai envie d’une cigarette. Nous sortons dans la rue, c'est-à-dire devant l’aéroport. C’est marrant, les taxis espagnols sont blancs avec un trait rouge oblique sur la portière avant.
Après la cigarette, nous repassons la sécurité, et là, grosse déception : je ne bipe pas !!! puis on se fait confisquer nos bouteilles d’eau. Après on cherche comment aller aux terminaux internationaux. On prend un petit train qui relie les 2 terminaux, on demande à un gars au point information et au vu de ce qu’il nous répond, et qu’on ne comprend rien de ce qu’il nous dit, on décide de regarder le panneau d’affichage. On voit « 19h15 JFK U74 ». On y va à pieds. On y est à 17h15. Le début de l’enregistrement se fera à 18h15.
18h45 nous sommes à bord d’un A340-600. Places au 44eme rang, autant dire qu’on est en queue de peloton, à l’arrière de l’avion. On sortira bons derniers à JFK. Pas de télé sur les sièges. Ça va être la misère ce voyage. Il y a juste un écran au milieu de l’avion. De toutes façons, on s’en fout, la connectique sur le siège de ma chère et tendre ne fonctionne pas, et pour ma part, les écouteurs me font mal aux oreilles. Alors on n’aura pas d’écouteurs non plus. Et puis comme on a le choix entre des actus en espagnol ou en anglais, ça nous calme vite fait. Du coup, on sort le « cahier de vacances scrabble » et on attaque un sudoku et autres anagrammes. On se la joue un brin intello, mais on se fatigue vite car finalement les exercices proposés sont assez pénibles.
21h, on voit le ballet des chariots qui s’active en avant, en arrière, de l’avion. Ça passe et ça repasse devant nous mais ça ne s’arrête pas à la hauteur de nos sièges. J’ai faim. Si ça continue, j’attaque le siège de devant ! En plus, on se dit que les espagnols mangent tard et qu’on n’est pas prêts d’être servis. Et comme on est en queue d’avion, le repas va être froid à l’arrivée sur nos tablettes. J’ai préféré la Lufthansa. Au moins, on bouffe et on boit tout le temps. Bon, pour le moment «Lufthansa, one point ».
21h30, la délivrance : l’arrivée des plateaux. Chicken or Pasta. Comme on ne sait pas, on prend chacune un plat différent. Pollo pour moi, Pasta pour ma copine. En fait, le contenu entier des plateaux est différent. On s’échange nos trucs en fonction de nos goûts. Arrive le café en même temps que le plateau. Normal puisqu’on a été servis en dernier, tout arrive en bloc. On se dit « bon plan de prendre des plateaux différents ». Sauf si c’est du poulpe ou des moules. Et nous voilà parties à délirer là-dessus, vu qu’on déteste les bestioles de mer. Comme je ne parle pas du tout espagnol, je demande à ma douce : comment on dit « j’aime pas ». Elle me répond : « no me gusto ? ». Ben voilà, s’il y avait eu du poulpe, j’aurais dit « no me gusto poulpo ». Et c'est tellement crétin qu'on rigole comme des bossues.
Bon c’est pas tout ça mais il reste encore 4000 kimometres, 5h ½ de vol et on est plein pot au dessus de l’Atlantique. Ça chahute un peu.
21h55 j’apprends un mot d’espagnol : « cuidado » (KOUIDADO) qui veut dire « attention ».
Le commandant de bord nous a demandé de remettre les ceintures. Ça bouge. J’espère que personne ne va vomir, surtout les voisins de rangée qui n’arrêtent pas de boire !!!
Bon, l’heure tourne, faudrait songer à dormir. Ça tombe bien, ils éteignent les lumières pour passer le seul et unique film du voyage : « de l’eau pour les éléphants ». Évidemment, on ne peut voir que les images, pour les raisons évoquées plus haut. Ce n’est donc pas facile de comprendre l’intrigue. Ça se passe dans un cirque et je comprends vaguement qu’il y a un méchant en rouge qui cogne son éléphant et sa femme (je sais, ça n'a aucun rapport direct, mais c'est le film qui veut ça). Ça finit par me fatiguer de voir une histoire sans parole et je commence à piquer du nez vers 1h du matin bien sonnée. Ma copine fait quelque tentatives pour dormir car elle a quand même sommeil. Mais le bruit des cannettes qu’on ouvre (toujours les mêmes voisins de rangées !!!!), la soufflerie en bruit de fond, etc. ne lui donnent pas l’occasion d'être au calme. Et sans boules Kies elle n’y arrive pas.
Au moment où je commence à piquer du nez avec délectation, vlan les lumières se rallument et les hôtesses commencent à nous distribuer un petit carton contenant un sandwich, un yaourt aux myrtilles, un petit bout de gâteau genre quatre quarts, un mini kitekat et une boisson. On attaque le sandwich qui est plutôt bourratif. Tant mieux ca va nous tenir au corps, on n’aura pas besoin de dîner en arrivant, on ira direct au dodo et on aura fait des économies. Toujours ça de pris !
On vient de caler nos montres sur l’heure américaine, il est 20h45, soit 2h45 heure française. On doit atterrir à 21h30. Le commandant de bord annonce qu’on ne peut pas se poser tout de suite, car il n’y a pas de piste disponible pour poser l’avion. On tournicote donc pendant une heure au-dessus de JFK avant de pouvoir atterrir. On en a tellement marre de tourner en rond comme ça, que tous les passagers applaudiront le commandant de bord quand il finira par poser l'avion au sol !
Comme prévu, on met un siècle avant de pouvoir sortir de l’avion. On arrive à l’immigration et là c’est l’horreur, il y a un monde de folie car deux autres vols son arrivés en même temps que le nôtre. Hong-Kong et Londres.
On passe l’immigration à 23h35. Le temps de récupérer nos valises, et nous sommes dans la file d’attente pour prendre un taxi.
Nous partons vers l’hôtel, il est 23h50. Le chauffeur roule comme un malade et nous arrivons à l’hôtel. Le temps de récupérer les cartes pour ouvrir la porte de la chambre, de déballer un minimum pour se doucher, se laver les dents, etc, on se couche à 1h30 complètement fracassées.
Lever à 6h15. On ne s’est pas endormies avant minuit, donc on est un peu nazes.
On se prépare, petit déjeuner, vidage poubelle, valises dans la voiture. Le timing est bon. On va chercher mon beau-père qui prendra ma voiture à l’arrivée à l’aéroport et la gardera le temps de notre séjour à New-York.
On arrive à l’aéroport à 8h45. Une dame qui fait partie du personnel de l’aéroport nous indique que l’enregistrement Iberia ne se fera pas avant 10h, et que ce n’était pas la peine d’arriver si tôt. Nous avons respecté les consignes et sommes arrivées 3h avant le décollage et on comprend que ce n’était pas la peine de s’être levées si tôt. A 10h15, on passe nos valises à l’enregistrement. 13kg pour ma copine, moi je n’ai pas pensé à demander.
Une dernière petite cigarette pour moi et on passe à la salle d’embarquement. On a l’impression d’être du bétail. Les chaussures de ma copsine bipent. Du bout du hall, une affreuse bonne femme lui hurle « les chaussures ! Dans la machine ! Dans la machine ! » Quelle machine ? La machine, c’est le bac en plastique dans lequel on vide le contenu de nos poches. Super classe. Moi je passe et je bipe aussi. J’ai droit à une palpation en règle, les bras en croix, tripotage de la tête aux pieds. Youpi, on en redemande ! (Pour la petite histoire, déjà l'an dernier j'avais bipé avant le prendre le bateau pour Ellis Island et une grosse dame black m'avait tripotée de la tête aux pieds... Depuis, c'est un véritable fantasme !
)Nous voilà en salle d’embarquement, il est 11h et nous attendons le vol qui est à 12h.
11h50 : allez, on embarque ! On descend sur le tarmac pour monter dans le petit avion. Tout petit, une cinquantaine de places. Midi pétantes, on n’est toujours pas partis. L’avion est plein, ça y est, on y va, direction Madrid.
12h04, l’avion se met en route. On trottine gentiment jusqu’à la piste de décollage. Le moment que je préfère : quand les pleins gaz sont lâchés, qu’on sent une poussée et hop le décollage qui remue l’estomac. J’adore ! Pour un peu, je prendrais l’avion rien que pour ça ! Depuis que je suis môme, j’adore les décollages d’avions.
On passe au-dessus de l’étang de Berre, les voitures sont minuscules, puis la méditerranée avec tous les bateaux qui attendent pour débarquer leurs cargaisons à Fos. L’avion va à gauche, à droite, à gauche à droite et la grande bleue tout du long.
12h25 : j’ai faim. Et ce n’est pas dans cet avion qu’on va nous donner à manger ! damned ! Ah mauvaise langue que je suis ! l’hôtesse ibère nous distribue des cocas et des fruits secs ! les gobelets sont trop beaux, hop clic clac je les prends en photo (compagnie Mare Nostrum, filiale Iberia).
13h30, on ne comprend rien de ce que dit la belle ibère. Ah si ! Elle parle français finalement ! Bref elle nous informe que l’avion descend (ça on s’en aperçoit) et qu’on ne va pas tarder à atterrir à Madrid.
13h45 on tournicote dans tous les sens pour finir en plein milieu de nulle part. On attend, on descend et un bus Iberia nous amène jusqu’à une porte de l’aéroport. On va déjeuner dans une sandwicherie « Rodilla » pas mauvais. On paye 9,20€ nos 2 sandwiches.
L’aéroport de Madrid fait penser à un centre commercial. Dans la partie centrale, il y a plein de commerces chers, très chers. Je m’achète 2 petites bricoles. Après on va prendre 2 Sundays au Mc Do, et un café chez Vineo.
Alors évidemment, après le café, j’ai envie d’une cigarette. Nous sortons dans la rue, c'est-à-dire devant l’aéroport. C’est marrant, les taxis espagnols sont blancs avec un trait rouge oblique sur la portière avant.
Après la cigarette, nous repassons la sécurité, et là, grosse déception : je ne bipe pas !!! puis on se fait confisquer nos bouteilles d’eau. Après on cherche comment aller aux terminaux internationaux. On prend un petit train qui relie les 2 terminaux, on demande à un gars au point information et au vu de ce qu’il nous répond, et qu’on ne comprend rien de ce qu’il nous dit, on décide de regarder le panneau d’affichage. On voit « 19h15 JFK U74 ». On y va à pieds. On y est à 17h15. Le début de l’enregistrement se fera à 18h15.
18h45 nous sommes à bord d’un A340-600. Places au 44eme rang, autant dire qu’on est en queue de peloton, à l’arrière de l’avion. On sortira bons derniers à JFK. Pas de télé sur les sièges. Ça va être la misère ce voyage. Il y a juste un écran au milieu de l’avion. De toutes façons, on s’en fout, la connectique sur le siège de ma chère et tendre ne fonctionne pas, et pour ma part, les écouteurs me font mal aux oreilles. Alors on n’aura pas d’écouteurs non plus. Et puis comme on a le choix entre des actus en espagnol ou en anglais, ça nous calme vite fait. Du coup, on sort le « cahier de vacances scrabble » et on attaque un sudoku et autres anagrammes. On se la joue un brin intello, mais on se fatigue vite car finalement les exercices proposés sont assez pénibles.
21h, on voit le ballet des chariots qui s’active en avant, en arrière, de l’avion. Ça passe et ça repasse devant nous mais ça ne s’arrête pas à la hauteur de nos sièges. J’ai faim. Si ça continue, j’attaque le siège de devant ! En plus, on se dit que les espagnols mangent tard et qu’on n’est pas prêts d’être servis. Et comme on est en queue d’avion, le repas va être froid à l’arrivée sur nos tablettes. J’ai préféré la Lufthansa. Au moins, on bouffe et on boit tout le temps. Bon, pour le moment «Lufthansa, one point ».
21h30, la délivrance : l’arrivée des plateaux. Chicken or Pasta. Comme on ne sait pas, on prend chacune un plat différent. Pollo pour moi, Pasta pour ma copine. En fait, le contenu entier des plateaux est différent. On s’échange nos trucs en fonction de nos goûts. Arrive le café en même temps que le plateau. Normal puisqu’on a été servis en dernier, tout arrive en bloc. On se dit « bon plan de prendre des plateaux différents ». Sauf si c’est du poulpe ou des moules. Et nous voilà parties à délirer là-dessus, vu qu’on déteste les bestioles de mer. Comme je ne parle pas du tout espagnol, je demande à ma douce : comment on dit « j’aime pas ». Elle me répond : « no me gusto ? ». Ben voilà, s’il y avait eu du poulpe, j’aurais dit « no me gusto poulpo ». Et c'est tellement crétin qu'on rigole comme des bossues.
Bon c’est pas tout ça mais il reste encore 4000 kimometres, 5h ½ de vol et on est plein pot au dessus de l’Atlantique. Ça chahute un peu.
21h55 j’apprends un mot d’espagnol : « cuidado » (KOUIDADO) qui veut dire « attention ».
Le commandant de bord nous a demandé de remettre les ceintures. Ça bouge. J’espère que personne ne va vomir, surtout les voisins de rangée qui n’arrêtent pas de boire !!!
Bon, l’heure tourne, faudrait songer à dormir. Ça tombe bien, ils éteignent les lumières pour passer le seul et unique film du voyage : « de l’eau pour les éléphants ». Évidemment, on ne peut voir que les images, pour les raisons évoquées plus haut. Ce n’est donc pas facile de comprendre l’intrigue. Ça se passe dans un cirque et je comprends vaguement qu’il y a un méchant en rouge qui cogne son éléphant et sa femme (je sais, ça n'a aucun rapport direct, mais c'est le film qui veut ça). Ça finit par me fatiguer de voir une histoire sans parole et je commence à piquer du nez vers 1h du matin bien sonnée. Ma copine fait quelque tentatives pour dormir car elle a quand même sommeil. Mais le bruit des cannettes qu’on ouvre (toujours les mêmes voisins de rangées !!!!), la soufflerie en bruit de fond, etc. ne lui donnent pas l’occasion d'être au calme. Et sans boules Kies elle n’y arrive pas.
Au moment où je commence à piquer du nez avec délectation, vlan les lumières se rallument et les hôtesses commencent à nous distribuer un petit carton contenant un sandwich, un yaourt aux myrtilles, un petit bout de gâteau genre quatre quarts, un mini kitekat et une boisson. On attaque le sandwich qui est plutôt bourratif. Tant mieux ca va nous tenir au corps, on n’aura pas besoin de dîner en arrivant, on ira direct au dodo et on aura fait des économies. Toujours ça de pris !
On vient de caler nos montres sur l’heure américaine, il est 20h45, soit 2h45 heure française. On doit atterrir à 21h30. Le commandant de bord annonce qu’on ne peut pas se poser tout de suite, car il n’y a pas de piste disponible pour poser l’avion. On tournicote donc pendant une heure au-dessus de JFK avant de pouvoir atterrir. On en a tellement marre de tourner en rond comme ça, que tous les passagers applaudiront le commandant de bord quand il finira par poser l'avion au sol !
Comme prévu, on met un siècle avant de pouvoir sortir de l’avion. On arrive à l’immigration et là c’est l’horreur, il y a un monde de folie car deux autres vols son arrivés en même temps que le nôtre. Hong-Kong et Londres.
On passe l’immigration à 23h35. Le temps de récupérer nos valises, et nous sommes dans la file d’attente pour prendre un taxi.
Nous partons vers l’hôtel, il est 23h50. Le chauffeur roule comme un malade et nous arrivons à l’hôtel. Le temps de récupérer les cartes pour ouvrir la porte de la chambre, de déballer un minimum pour se doucher, se laver les dents, etc, on se couche à 1h30 complètement fracassées.
Dernière modification par Corky13 le 13 mai 2012, 18:30, modifié 4 fois.
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Lolosupersympa
- Messages : 1015
- Inscription : 02 oct. 2008, 11:52
Pour le Jeudi tu as au moins profité de l'immigration et d'un taxi made in NYC 
Vendredi 5 août 2011
On se réveille très tôt, tant est si bien qu’on se demande si le Le Skylight (Diner situé à deux pas de l’hôtel) sera ouvert. En fait, il est ouvert 24h/24h. On prend notre premier petit déjeuner américain de l’année, à savoir des pancakes (cafis de sirop d’érable pour moi).
On passe ensuite au Duane Reade pour acheter de l’eau et on attaque notre journée shopping, planifiée depuis longtemps. Comme ça, on achètera tout ce qu’on a à acheter pour les uns et les autres, y compris pour nous, et on aura l’esprit tranquille pour le reste du séjour.
Notre hôtel se trouve sur la 34eme rue et la 8e avenue et nous remontons la 34eme jusqu’à la 5eme avenue.
Le premier arrêt se fait chez Aeropostale où je m’achète quelques fringues. On s’arrête aussi chez Banana Republic où ma copine avait trouvé plein de fringues l’an dernier. Cette fois ci elle ne trouve rien. On continue notre chemin en prenant des tonnes de photos de tout ce qui nous plaît.
On se demande où on va déjeuner. A Manhattan, compte tenu du nombre de kilomètres à pieds que nous allons parcourir, la question de la nourriture est un sujet très sérieux, voire même très sensible.
Pas question de se manquer et de terminer dans un bouge ou dans une quelconque gargote à touristes. Non non non ! Il faut donc être minutieux dans le choix de nos points de chute.
On avait repéré qu’il y avait un Financier au Rockfeller Center mais finalement, on ne le trouve pas.
On s’arrête un moment devant le Tip Trip Grill qui ne nous fait une bonne impression, de l’extérieur. On se demande même pourquoi certains guides le recommandent. Bref on décide de retourner sur nos pas pour aller jusqu’au bon petit resto où nous avions déjeuné le 1er jour du voyage de l’an dernier : le Matts Grill (932 8th Avenue).
On est déjà claquées par le chemin parcouru et la chaleur moite des rues.
On s’installe donc tranquillou pépère dans ce petit resto fréquenté essentiellement par des new-yorkais du coin. Les burgers sont très bons. Notre copine canadienne qui y travaillait l’an dernier n’y travaille plus, nous demandons de ses nouvelles à la serveuse qui est sa meilleure pote. Elle nous explique qu’elle travaille maintenant dans un autre resto dans l’Upper East Side (si c'est pas de la promotion, ça !!!)
On quitte le Matts Grill, que l'on prend en photo, et en chemin, on achète quelques cartes postales et souvenirs, dont une snowball pour une copine qui en fait la collection (comme quoi, personne n'est parfait !!).
On se dirige tranquillement vers Times Square. Là on tombe sur Spider Man avec qui on fait quelques photos et qui a le culot, le bougre, de nous demander un tip ! Raaallala ! les héros ne sont plus ce qu'ils étaient !!!!
Ensuite on va prendre un "smoothie strawberry wild" au Jamba Juice (712 7th Ave) où j’ai eu droit à la phrase du jour, mémorable, de ma choupinette : « j’en peux plus ! ici on mange, on marche, on paye ». Oui.... et ça ne fait que commencer !!!! lol !
Juste à côté du Jamba Juice, je vois une boutique "Rosetta Stone".
Rosetta Stone, assez connue aux US, est une méthode d’apprentissage de langues (anglais américain dans mon cas).
Pendant six mois, de novembre 2010 à avril 2011, à raison d'une heure par jour et 7 jours sur 7, j'ai courageusement étudié cette méthode pour me perfectionner. Je dois avouer que je suis assez fière de moi sur ce coup là, car ce n'est pas facile de s'astreindre à cela, en solo... En tous cas, ça m'a libéré la parole, et je me suis aperçue durant ce voyage que j'avais acquis une certaine aisance dans les conversations.
D'un seul coup, j'aperçois de loin le Sofitel. THE Sofitel devrais-je dire !!!. Je me dis : "tiens je vais me faire un ptit film genre c’est ici que tout a commencé le 14 mai 2011». En impro, je tourne donc une petite vidéo marrante où j'interviewe ma copine en pleine rue pour savoir ce qu'elle faisait le jour où la terrible nouvelle est tombée sur les téléscripteurs du monde entier. Prise au dépourvu, celle ci me répond "Je sais pas, je me souviens plus, c'était il y a longtemps" .... Et bien oui, je l'avoue, ma copine est blonde !!!!!
Ensuite, je fais un autre film sur Times Square et je capte au vol un vrai/faux mariage qui se tourne en pleine rue.
On fait un tour dans la boutique Build a bear (565 Fifth Avenue). J'ai presque envie de me rapporter un nounours personnalisé, mais je me dis qu'à mon âge, c'est un peu ridicule. (En fait, ce n'est pas vrai, c'est juste que chez moi j'ai déjà plein de nounours, et qu'au bout d'un moment, ça parait louche d'en avoir autant !)
On s’arrête ensuite à la cathédrale St Patrick pour se reposer un peu. Je fais un petit film complètement foireux où je prends 2 ou 3 vitraux tout sombres, et des tonnes de piliers.... Ma copine se moque de moi, cette ingrate !
On repasse ensuite devant l’atlas statue du Rockfeller Center. Clic clac, dans la boîte à images !
Au passage je prends aussi la Trump Tower en photo, je ne me lasse pas de voir cette verdure comme ça en escaliers... Ensuite on se jette dans la boîte de nuit hype, The Place To Be, j'ai nommé Abercrombie.
Abercrombie, c'est toujours un grand moment de solitude, en fait ! la musique vous pète les tympans, on y voit rien, on entend rien, les couleurs peuvent sembler incertaines, bref, il faut avoir fait un solide repérage en amont sur internet, avoir stocké les photos sur son smartphone et trouver un ou une vendeuse pour lui montrer les précieuses images.
On finit par trouver les fringues, Flip flop et autres bracelets pour les uns et les autres et dans la foulée, je me prends un sweat à capuche. C'est vrai que j’avais regretté de ne pas en avoir pris un l’an dernier.
On retourne vers la Trump Tower pour acheter une bouteille d’eau, faire un arrêt pipi et on en profite pour filmer le mur d’eau dans le hall.
Ensuite nous redescendons vers notre hôtel, on en a plein les pattes et plein les bras aussi.
On trouve quand même le courage, en passant, de se prendre de quoi dîner au Duane Reade en face de l'hôtel.
Douche, massage des pieds (bobo les pieds !!!) et hop au dodo !
Quelques photos de cette journée :
[ image externe ]
La Hearst Tower
[ image externe ]
Le Rockfeller
[ image externe ]
On se réveille très tôt, tant est si bien qu’on se demande si le Le Skylight (Diner situé à deux pas de l’hôtel) sera ouvert. En fait, il est ouvert 24h/24h. On prend notre premier petit déjeuner américain de l’année, à savoir des pancakes (cafis de sirop d’érable pour moi).
On passe ensuite au Duane Reade pour acheter de l’eau et on attaque notre journée shopping, planifiée depuis longtemps. Comme ça, on achètera tout ce qu’on a à acheter pour les uns et les autres, y compris pour nous, et on aura l’esprit tranquille pour le reste du séjour.
Notre hôtel se trouve sur la 34eme rue et la 8e avenue et nous remontons la 34eme jusqu’à la 5eme avenue.
Le premier arrêt se fait chez Aeropostale où je m’achète quelques fringues. On s’arrête aussi chez Banana Republic où ma copine avait trouvé plein de fringues l’an dernier. Cette fois ci elle ne trouve rien. On continue notre chemin en prenant des tonnes de photos de tout ce qui nous plaît.
On se demande où on va déjeuner. A Manhattan, compte tenu du nombre de kilomètres à pieds que nous allons parcourir, la question de la nourriture est un sujet très sérieux, voire même très sensible.
Pas question de se manquer et de terminer dans un bouge ou dans une quelconque gargote à touristes. Non non non ! Il faut donc être minutieux dans le choix de nos points de chute.
On avait repéré qu’il y avait un Financier au Rockfeller Center mais finalement, on ne le trouve pas.
On s’arrête un moment devant le Tip Trip Grill qui ne nous fait une bonne impression, de l’extérieur. On se demande même pourquoi certains guides le recommandent. Bref on décide de retourner sur nos pas pour aller jusqu’au bon petit resto où nous avions déjeuné le 1er jour du voyage de l’an dernier : le Matts Grill (932 8th Avenue).
On est déjà claquées par le chemin parcouru et la chaleur moite des rues.
On s’installe donc tranquillou pépère dans ce petit resto fréquenté essentiellement par des new-yorkais du coin. Les burgers sont très bons. Notre copine canadienne qui y travaillait l’an dernier n’y travaille plus, nous demandons de ses nouvelles à la serveuse qui est sa meilleure pote. Elle nous explique qu’elle travaille maintenant dans un autre resto dans l’Upper East Side (si c'est pas de la promotion, ça !!!)
On quitte le Matts Grill, que l'on prend en photo, et en chemin, on achète quelques cartes postales et souvenirs, dont une snowball pour une copine qui en fait la collection (comme quoi, personne n'est parfait
!!). On se dirige tranquillement vers Times Square. Là on tombe sur Spider Man avec qui on fait quelques photos et qui a le culot, le bougre, de nous demander un tip ! Raaallala ! les héros ne sont plus ce qu'ils étaient !!!!
Ensuite on va prendre un "smoothie strawberry wild" au Jamba Juice (712 7th Ave) où j’ai eu droit à la phrase du jour, mémorable, de ma choupinette : « j’en peux plus ! ici on mange, on marche, on paye ». Oui.... et ça ne fait que commencer !!!! lol !
Juste à côté du Jamba Juice, je vois une boutique "Rosetta Stone".
Rosetta Stone, assez connue aux US, est une méthode d’apprentissage de langues (anglais américain dans mon cas).
Pendant six mois, de novembre 2010 à avril 2011, à raison d'une heure par jour et 7 jours sur 7, j'ai courageusement étudié cette méthode pour me perfectionner. Je dois avouer que je suis assez fière de moi sur ce coup là, car ce n'est pas facile de s'astreindre à cela, en solo... En tous cas, ça m'a libéré la parole, et je me suis aperçue durant ce voyage que j'avais acquis une certaine aisance dans les conversations.
D'un seul coup, j'aperçois de loin le Sofitel. THE Sofitel devrais-je dire !!!. Je me dis : "tiens je vais me faire un ptit film genre c’est ici que tout a commencé le 14 mai 2011». En impro, je tourne donc une petite vidéo marrante où j'interviewe ma copine en pleine rue pour savoir ce qu'elle faisait le jour où la terrible nouvelle est tombée sur les téléscripteurs du monde entier. Prise au dépourvu, celle ci me répond "Je sais pas, je me souviens plus, c'était il y a longtemps" .... Et bien oui, je l'avoue, ma copine est blonde !!!!!
Ensuite, je fais un autre film sur Times Square et je capte au vol un vrai/faux mariage qui se tourne en pleine rue.
On fait un tour dans la boutique Build a bear (565 Fifth Avenue). J'ai presque envie de me rapporter un nounours personnalisé, mais je me dis qu'à mon âge, c'est un peu ridicule. (En fait, ce n'est pas vrai, c'est juste que chez moi j'ai déjà plein de nounours, et qu'au bout d'un moment, ça parait louche d'en avoir autant !)
On s’arrête ensuite à la cathédrale St Patrick pour se reposer un peu. Je fais un petit film complètement foireux où je prends 2 ou 3 vitraux tout sombres, et des tonnes de piliers.... Ma copine se moque de moi, cette ingrate !
On repasse ensuite devant l’atlas statue du Rockfeller Center. Clic clac, dans la boîte à images !
Au passage je prends aussi la Trump Tower en photo, je ne me lasse pas de voir cette verdure comme ça en escaliers... Ensuite on se jette dans la boîte de nuit hype, The Place To Be, j'ai nommé Abercrombie.
Abercrombie, c'est toujours un grand moment de solitude, en fait ! la musique vous pète les tympans, on y voit rien, on entend rien, les couleurs peuvent sembler incertaines, bref, il faut avoir fait un solide repérage en amont sur internet, avoir stocké les photos sur son smartphone et trouver un ou une vendeuse pour lui montrer les précieuses images.
On finit par trouver les fringues, Flip flop et autres bracelets pour les uns et les autres et dans la foulée, je me prends un sweat à capuche. C'est vrai que j’avais regretté de ne pas en avoir pris un l’an dernier.
On retourne vers la Trump Tower pour acheter une bouteille d’eau, faire un arrêt pipi et on en profite pour filmer le mur d’eau dans le hall.
Ensuite nous redescendons vers notre hôtel, on en a plein les pattes et plein les bras aussi.
On trouve quand même le courage, en passant, de se prendre de quoi dîner au Duane Reade en face de l'hôtel.
Douche, massage des pieds (bobo les pieds !!!) et hop au dodo !
Quelques photos de cette journée :
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![[ image externe ]](http://img192.imageshack.us/img192/9669/14dscn0476.jpg){kind=link}
La Hearst Tower
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![[ image externe ]](http://img51.imageshack.us/img51/1305/49dscn0516.jpg){kind=link}
Le Rockfeller
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Dernière modification par Corky13 le 03 sept. 2011, 22:43, modifié 5 fois.
HOTEL NEW-YORKER
481 Eighth Ave, 34th St & 8th Ave
Une vue de l'hôtel où nous étions (le même que l'an dernier)
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En bas de l'hôtel, à l'angle de la 34th st & 8th Ave
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Notre chambre
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La vue depuis notre chambre, by night
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La vue, de jour
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481 Eighth Ave, 34th St & 8th Ave
Une vue de l'hôtel où nous étions (le même que l'an dernier)
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En bas de l'hôtel, à l'angle de la 34th st & 8th Ave
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Notre chambre
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La vue depuis notre chambre, by night
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La vue, de jour
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Lolosupersympa
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Très sympa de mentionner les adresses
Bon ben me voila devant mon écran et toujours pas la suite
Bon ben me voila devant mon écran et toujours pas la suite
Samedi 6 août 2011
Je me réveille dans la nuit car j’ai très mal à la tête. On a oublié de remettre la climatisation hier soir alors je me lève pour l'enclencher et prendre un médoc. Je me recouche, mais au réveil je suis encore vaseuse.
Pas question d’être patraque aujourd’hui, car nous allons au MET voir l’exposition sur Alexander Mc Queen qui se termine le lendemain soir.
[ image externe ]
Nous allons chercher de quoi prendre le petit dej au Duane Reade et pour ne pas être en retard, nous prenons un yellow cab qui nous déposera devant le MET (13$) à l'ouverture.
En arrivant à proximité du musée on commence à voir une file d’attente impressionnante. On se dit « nan c’est pas possible, c’est pas pour l’expo Mc Queen quand même ??? » Et si ! C’est bien ça. On avait réservé nos billets sur internet avant le départ en se disant qu’ainsi on ne ferait pas la queue. Et on se trompait.
Un des gars du musée nous explique qu’aujourd’hui pas de traitement de faveur pour qui que ce soit, tout le monde doit attendre. On redescend les marches et on commence à chercher le début de la file d’attente. On marche, on marche, on marche tellement qu'on fait le tour du MET et qu'on entre dans Central Park. On passe devant la statue des 3 ours, on continue on continue ….
On finit par trouver le début de la file et là je me dis que ce n’est pas possible, qu’on va en avoir pour des heures à attendre. Ma copine me dit "tu fais comme tu veux, mais moi je veux la voir cette expo". Ben oui moi aussi mais c’est juste que la longueur de la file d’attente me démoralise un peu, déjà que j’ai (toujours) mal à la tête ….
Je vais chercher une bouteille d’eau car il commence à faire chaud. On finit par discuter avec la fille qui est derrière nous dans la file d’attente. Anna, une New-Yorkaise originaire du Kansas.
Nous attendons donc… une heure… je décide d’aller filmer le début de la file d’attente. Il y a tellement de monde que j’ai du mal à retrouver ma copine dans la file d’attente !!!!!
ça fait maintenant deux heures que nous poireautons lorsque Anna voit une file d’attente beaucoup plus courte. Elle décide d’aller voir pourquoi et quelques instants après elle nous fait signe de la rejoindre.
Nous entrons enfin dans le MET, bien contentes, pensant naïvement que nous allons enfin pouvoir contempler l'expo.
Sauf que nous voyons un petit panneau qui indique "Mc Queen 2heures". On demande à Anna si ça concerne les gens qui sont à l’extérieur du musée.
Et là, elle nous "euh .... je pense que la file d'attente est de 2h aussi à l'intérieur du musée" .... Consternation !
En fait nous avons attendu 2h dehors et nous attendrons 2h à l’intérieur du musée, soit 4h au total pour pouvoir enfin voir l’expo tant attendue.
Nous entrons enfin dans les salles. Il n’y a pas un mot, pas un son, pas un bruit, nous sommes tous muets en découvrant cette expo. C’est magnifique, c’est éblouissant, c’est juste incroyablement beau. On ne peut pas prendre de photos, pas de films. Certaines personnes font des croquis de ce qu'ils voient. IL faut dire que parmi les visiteurs, il semble y avoir pas mal d'étudiants et/ou de gens qui bossent dans la mode. Anna, d'ailleurs en fait partie.
A la fin de l’expo nous allons à la boutique du MET pour en acheter le livre. Ça peut paraître fou d’avoir attendu autant de temps, mais à aucun moment nous ne l’avons regretté.
Seulement voilà, en entrant dans la file d’attente à 10h, avec 4h d’attente et le temps de l’expo, nous sommes affamées.
Nous décidons donc d’aller sur le toit du MET pour manger un morceau et profiter de la superbe vue.
Nous achetons deux sandwiches (10$ le sandwich) et deux cocas et nous nous installons sur un des bancs disponibles.
Je me lève pour faire un petit panoramique de la vue qui s’offre à nous, et là le gardien vient vers moi et me dit que c’est interdit de filmer. Dépitée, je m’assois pour manger enfin mon sandwich et ma copine me dit "euh….ne te rassois pas, le gars vient de dire à tout le monde que le toit allait être fermé au public".
Grosse déception car il est 15h30, nous avons payé cher ces fichus sandwiches uniquement pour pouvoir profiter de la vue du Roof Garden. Le responsable du roof arrive pour fermer le site et je commence à râler auprès de lui en expliquant qu’on s’est tapé des heures d’attente pour aller voir une expo dans ce musée, que nous en sortons à peine, que nous n’avons pas eu le temps de manger quoi que ce soit et que maintenant que nous avons acheté nourriture et boisson, on nous demande de partir.
Il répond « I suggest you to go to the cafeteria to finish your lunch ». A quoi j’ai envie de répondre “I suggest you to let us finish our lunch here”. Mais je ne ne fait pas, évidemment !
Super déçues et pas très contentes de la blague, nous descendons à la fameuse cafeteria où nous terminons notre repas.
Dans notre planning, nous avions prévu de faire le MET le matin, et les Cloisters l’après-midi. Compte tenu de l’heure qu’il est (presque 4PM), il n'est pas envisageable de partir pour cette visite. Alors histoire de finir l’après midi sur une note sucrée, nous partons pour le Sarabeth’s Kitchen (945 Madison Avenue) où nous buvons un thé en grignotant de très bons gâteaux (strawberry shortcake).
On se repose un peu et on repart sur la 5eme Avenue. Il se met à pleuvoir le long du chemin. Tant qu’il y a des arbres, on est à peu près à l’abri.
On cavale alors chez FAO Schwarz. On prend plein de photos, notamment d’un baby-foot rose où tous les joueurs sont des poupées Barbie. Cette édition limitée coûte la bagatelle de $24.999.99 !!!!
[ image externe ]
On achète un petit sac à main « Hello Kitty » pour notre nièce qui a 2ans ½ et qui est déjà une vraie pépète ! On quitte le magasin, il commence à faire nuit, et nous passons devant Tiffany où nous prenons des photos de la porte fermée. Très marrant ! on dirait un vrai coffre-fort !
[ image externe ]
On repasse également devant Abercrombie qui est quasiment désert. En fait, ils sont à deux doigts de la fermeture. Nous en profitons pour acheter une chemise pour moi et un gilet à dentelles pour ma copine.
Nous redescendons, toujours à pied, vers notre hôtel. Il pleut pas mal à certains moments et nous repassons au Duane pour prendre de quoi manger dans la chambre d’hôtel. Nous sommes vannées après toutes ces heures d'attente debout. On se prend une bonne douche, massage de pieds obligatoire et dodo.
Je me réveille dans la nuit car j’ai très mal à la tête. On a oublié de remettre la climatisation hier soir alors je me lève pour l'enclencher et prendre un médoc. Je me recouche, mais au réveil je suis encore vaseuse.
Pas question d’être patraque aujourd’hui, car nous allons au MET voir l’exposition sur Alexander Mc Queen qui se termine le lendemain soir.
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![[ image externe ]](http://img194.imageshack.us/img194/1572/8dscn0578.jpg){kind=link}
Nous allons chercher de quoi prendre le petit dej au Duane Reade et pour ne pas être en retard, nous prenons un yellow cab qui nous déposera devant le MET (13$) à l'ouverture.
En arrivant à proximité du musée on commence à voir une file d’attente impressionnante. On se dit « nan c’est pas possible, c’est pas pour l’expo Mc Queen quand même ??? » Et si ! C’est bien ça. On avait réservé nos billets sur internet avant le départ en se disant qu’ainsi on ne ferait pas la queue. Et on se trompait.
Un des gars du musée nous explique qu’aujourd’hui pas de traitement de faveur pour qui que ce soit, tout le monde doit attendre. On redescend les marches et on commence à chercher le début de la file d’attente. On marche, on marche, on marche tellement qu'on fait le tour du MET et qu'on entre dans Central Park. On passe devant la statue des 3 ours, on continue on continue ….
On finit par trouver le début de la file et là je me dis que ce n’est pas possible, qu’on va en avoir pour des heures à attendre. Ma copine me dit "tu fais comme tu veux, mais moi je veux la voir cette expo". Ben oui moi aussi mais c’est juste que la longueur de la file d’attente me démoralise un peu, déjà que j’ai (toujours) mal à la tête ….
Je vais chercher une bouteille d’eau car il commence à faire chaud. On finit par discuter avec la fille qui est derrière nous dans la file d’attente. Anna, une New-Yorkaise originaire du Kansas.
Nous attendons donc… une heure… je décide d’aller filmer le début de la file d’attente. Il y a tellement de monde que j’ai du mal à retrouver ma copine dans la file d’attente !!!!!
ça fait maintenant deux heures que nous poireautons lorsque Anna voit une file d’attente beaucoup plus courte. Elle décide d’aller voir pourquoi et quelques instants après elle nous fait signe de la rejoindre.
Nous entrons enfin dans le MET, bien contentes, pensant naïvement que nous allons enfin pouvoir contempler l'expo.
Sauf que nous voyons un petit panneau qui indique "Mc Queen 2heures". On demande à Anna si ça concerne les gens qui sont à l’extérieur du musée.
Et là, elle nous "euh .... je pense que la file d'attente est de 2h aussi à l'intérieur du musée" .... Consternation !
En fait nous avons attendu 2h dehors et nous attendrons 2h à l’intérieur du musée, soit 4h au total pour pouvoir enfin voir l’expo tant attendue.
Nous entrons enfin dans les salles. Il n’y a pas un mot, pas un son, pas un bruit, nous sommes tous muets en découvrant cette expo. C’est magnifique, c’est éblouissant, c’est juste incroyablement beau. On ne peut pas prendre de photos, pas de films. Certaines personnes font des croquis de ce qu'ils voient. IL faut dire que parmi les visiteurs, il semble y avoir pas mal d'étudiants et/ou de gens qui bossent dans la mode. Anna, d'ailleurs en fait partie.
A la fin de l’expo nous allons à la boutique du MET pour en acheter le livre. Ça peut paraître fou d’avoir attendu autant de temps, mais à aucun moment nous ne l’avons regretté.
Seulement voilà, en entrant dans la file d’attente à 10h, avec 4h d’attente et le temps de l’expo, nous sommes affamées.
Nous décidons donc d’aller sur le toit du MET pour manger un morceau et profiter de la superbe vue.
Nous achetons deux sandwiches (10$ le sandwich) et deux cocas et nous nous installons sur un des bancs disponibles.
Je me lève pour faire un petit panoramique de la vue qui s’offre à nous, et là le gardien vient vers moi et me dit que c’est interdit de filmer. Dépitée, je m’assois pour manger enfin mon sandwich et ma copine me dit "euh….ne te rassois pas, le gars vient de dire à tout le monde que le toit allait être fermé au public".
Grosse déception car il est 15h30, nous avons payé cher ces fichus sandwiches uniquement pour pouvoir profiter de la vue du Roof Garden. Le responsable du roof arrive pour fermer le site et je commence à râler auprès de lui en expliquant qu’on s’est tapé des heures d’attente pour aller voir une expo dans ce musée, que nous en sortons à peine, que nous n’avons pas eu le temps de manger quoi que ce soit et que maintenant que nous avons acheté nourriture et boisson, on nous demande de partir.
Il répond « I suggest you to go to the cafeteria to finish your lunch ». A quoi j’ai envie de répondre “I suggest you to let us finish our lunch here”. Mais je ne ne fait pas, évidemment !
Super déçues et pas très contentes de la blague, nous descendons à la fameuse cafeteria où nous terminons notre repas.
Dans notre planning, nous avions prévu de faire le MET le matin, et les Cloisters l’après-midi. Compte tenu de l’heure qu’il est (presque 4PM), il n'est pas envisageable de partir pour cette visite. Alors histoire de finir l’après midi sur une note sucrée, nous partons pour le Sarabeth’s Kitchen (945 Madison Avenue) où nous buvons un thé en grignotant de très bons gâteaux (strawberry shortcake).
On se repose un peu et on repart sur la 5eme Avenue. Il se met à pleuvoir le long du chemin. Tant qu’il y a des arbres, on est à peu près à l’abri.
On cavale alors chez FAO Schwarz. On prend plein de photos, notamment d’un baby-foot rose où tous les joueurs sont des poupées Barbie. Cette édition limitée coûte la bagatelle de $24.999.99 !!!!
[ image externe ]
![[ image externe ]](http://img11.imageshack.us/img11/5756/56dscn0625.jpg){kind=link}
On achète un petit sac à main « Hello Kitty » pour notre nièce qui a 2ans ½ et qui est déjà une vraie pépète ! On quitte le magasin, il commence à faire nuit, et nous passons devant Tiffany où nous prenons des photos de la porte fermée. Très marrant ! on dirait un vrai coffre-fort !
[ image externe ]
![[ image externe ]](http://img38.imageshack.us/img38/8177/tiffanyof.jpg){kind=link}
On repasse également devant Abercrombie qui est quasiment désert. En fait, ils sont à deux doigts de la fermeture. Nous en profitons pour acheter une chemise pour moi et un gilet à dentelles pour ma copine.
Nous redescendons, toujours à pied, vers notre hôtel. Il pleut pas mal à certains moments et nous repassons au Duane pour prendre de quoi manger dans la chambre d’hôtel. Nous sommes vannées après toutes ces heures d'attente debout. On se prend une bonne douche, massage de pieds obligatoire et dodo.
Dernière modification par Corky13 le 04 sept. 2011, 15:16, modifié 2 fois.
Dimanche 7 août 2011
On est debout à 6h et on va se chercher notre petit déj au Duane. Aujourd’hui nous allons à Times Square pour voir les expos « Harry Potter » et « Pompéi ».
Nous avons aussi un rendez-vous avec nos familles respectives devant la webcam de la 46e rue, devant le TGI’s Friday. Nous restons un bon moment à faire les guignols devant la caméra et nous allons vers la première expo.
La fille qui vend les billets est aimable comme une porte de prison. C’est la seule fois où nous aurons affaire à une personne désagréable.
Nous allons en premier à l’expo Harry Potter et là nous sommes très déçues de ce que nous voyons. Tout fait « toc », je me demande bien ce que je pouvais trouver d’autre ! une vraie chouette ? une vraie baguette magique ? bref le côté féérique en prend un coup, c’est une expo pour touristes. Le chemin de l’expo nous fait rapidement arriver vers la boutique Harry Potter où tout est hors de prix. Pas question d’acheter quoi que ce soit.
Nous partons pour l’expo Pompéi. A peine mieux. Nous avons déboursé en tout $91.44 et nous le regrettons amèrement.
Bon, c’est dimanche et nous avons programmé un déjeuner dans un resto que nous a recommandé un ami. Il s’agit du « Bistecca Fiorentina » (317 West. 46th Street). Nous prenons des tomates à la mozza et des lasagnes fraîches. Très bon, très bien cuisiné mais nous n’arrivons pas à terminer nos assiettes tellement les parts sont copieuses. Les New-Yorkais se levant plus tard le dimanche, ils privilégient davantage le brunch, aussi sommes nous seules et tranquilles dans ce restaurant italien. Nous prenons donc le temps de rédiger toutes les cartes postales que nous enverrons demain. Après presque deux heures de repos au Bisteca, nous décidons de repartir. Nous payons $87.67. Ce jour là, nous avons pété notre budget norriture journalier !
Nous retournons vers Times Square pour faire encore quelques emplettes. Nous allons d’abord à American Eagle Outfitters pour prendre un sweat à capuche rose pour ma copine, une babiole pour moi et surtout ….. la photo qui nous rendra célèbre sur Times Square pendant quelques secondes ! C’est assez marrant ! J’en profite pour filmer un peu ce qui nous entoure, puis nous partons en direction d’un magasin Hallmark qui se trouve au Port Authority Bus Terminal.
Là nous achetons plusieurs dizaines de Votive sampler Candles qu’on nous avait demandé de rapporter.
On file ensuite à l’hôtel pour déposer nos sacs, nous rafraîchir un peu et nous repartons en direction de la High Line, à la hauteur de la 30eme rue.
Nous prenons des photos toutes les trois secondes tellement nous apprécions les lieux.
[ image externe ]
Il y a de la végétation, du mobilier urbain, un endroit où l’on peut marcher pieds nus dans l’eau, des chaises longues, et aussi un type qui a un énorme bloc de glace qu’il racle avec une espèce de rabot et qui fait éclater la glace en minuscules petits morceaux qu’il dépose dans un gobelet et arrose avec un sirop de prune. Très rafraichissant.
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Nous passons au-dessus de rues et de quartiers que nous ne connaissons pas, parfois vieux, laids et sales, nous prenons des tonnes de photos des maisons des oiseaux (pas du tout effrayés par la horde d’êtres humains qui les entourent).
A un moment nous entendons le son d’un violoncelle et nous voyons un gars en costard en train de faire un petit récital tranquillou. Des gens sont assis, écoutent et applaudissent lorsqu’il termine un morceau. Je me dis qu’on est vraiment à New-York où tout est possible, où toute personne peut avoir un public.
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On se balade comme ça pendant plusieurs heures, on flâne, on s’assoit, on observe, on contemple ce qui nous entoure. On voit que certains bâtiments sont en rénovation et on comprend que d’ici peu de temps, tous ces quartiers que nous voyons depuis la highline auront bientôt une autre allure.
Ensuite nous remontons tranquillement vers notre hôtel en passant à nouveau par le Duane Reade pour notre dîner.
On est debout à 6h et on va se chercher notre petit déj au Duane. Aujourd’hui nous allons à Times Square pour voir les expos « Harry Potter » et « Pompéi ».
Nous avons aussi un rendez-vous avec nos familles respectives devant la webcam de la 46e rue, devant le TGI’s Friday. Nous restons un bon moment à faire les guignols devant la caméra et nous allons vers la première expo.
La fille qui vend les billets est aimable comme une porte de prison. C’est la seule fois où nous aurons affaire à une personne désagréable.
Nous allons en premier à l’expo Harry Potter et là nous sommes très déçues de ce que nous voyons. Tout fait « toc », je me demande bien ce que je pouvais trouver d’autre ! une vraie chouette ? une vraie baguette magique ? bref le côté féérique en prend un coup, c’est une expo pour touristes. Le chemin de l’expo nous fait rapidement arriver vers la boutique Harry Potter où tout est hors de prix. Pas question d’acheter quoi que ce soit.
Nous partons pour l’expo Pompéi. A peine mieux. Nous avons déboursé en tout $91.44 et nous le regrettons amèrement.
Bon, c’est dimanche et nous avons programmé un déjeuner dans un resto que nous a recommandé un ami. Il s’agit du « Bistecca Fiorentina » (317 West. 46th Street). Nous prenons des tomates à la mozza et des lasagnes fraîches. Très bon, très bien cuisiné mais nous n’arrivons pas à terminer nos assiettes tellement les parts sont copieuses. Les New-Yorkais se levant plus tard le dimanche, ils privilégient davantage le brunch, aussi sommes nous seules et tranquilles dans ce restaurant italien. Nous prenons donc le temps de rédiger toutes les cartes postales que nous enverrons demain. Après presque deux heures de repos au Bisteca, nous décidons de repartir. Nous payons $87.67. Ce jour là, nous avons pété notre budget norriture journalier !
Nous retournons vers Times Square pour faire encore quelques emplettes. Nous allons d’abord à American Eagle Outfitters pour prendre un sweat à capuche rose pour ma copine, une babiole pour moi et surtout ….. la photo qui nous rendra célèbre sur Times Square pendant quelques secondes ! C’est assez marrant ! J’en profite pour filmer un peu ce qui nous entoure, puis nous partons en direction d’un magasin Hallmark qui se trouve au Port Authority Bus Terminal.
Là nous achetons plusieurs dizaines de Votive sampler Candles qu’on nous avait demandé de rapporter.
On file ensuite à l’hôtel pour déposer nos sacs, nous rafraîchir un peu et nous repartons en direction de la High Line, à la hauteur de la 30eme rue.
Nous prenons des photos toutes les trois secondes tellement nous apprécions les lieux.
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Il y a de la végétation, du mobilier urbain, un endroit où l’on peut marcher pieds nus dans l’eau, des chaises longues, et aussi un type qui a un énorme bloc de glace qu’il racle avec une espèce de rabot et qui fait éclater la glace en minuscules petits morceaux qu’il dépose dans un gobelet et arrose avec un sirop de prune. Très rafraichissant.
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Nous passons au-dessus de rues et de quartiers que nous ne connaissons pas, parfois vieux, laids et sales, nous prenons des tonnes de photos des maisons des oiseaux (pas du tout effrayés par la horde d’êtres humains qui les entourent).
A un moment nous entendons le son d’un violoncelle et nous voyons un gars en costard en train de faire un petit récital tranquillou. Des gens sont assis, écoutent et applaudissent lorsqu’il termine un morceau. Je me dis qu’on est vraiment à New-York où tout est possible, où toute personne peut avoir un public.
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![[ image externe ]](http://img856.imageshack.us/img856/34/121dscn0840.jpg){kind=link}
On se balade comme ça pendant plusieurs heures, on flâne, on s’assoit, on observe, on contemple ce qui nous entoure. On voit que certains bâtiments sont en rénovation et on comprend que d’ici peu de temps, tous ces quartiers que nous voyons depuis la highline auront bientôt une autre allure.
Ensuite nous remontons tranquillement vers notre hôtel en passant à nouveau par le Duane Reade pour notre dîner.