Merci...oui, je vais penser au recueil! 
New York vu par...nous !
Modérateurs : patricia, Didier, photos
Voici ma vision de New York. Je la vois à travers mon objectif, j'ai toujours fait de la photo, c'est mon arme contre l'oubli. Et cette ville est une source inépuisable d'inspiration. Je ne retouche jamais mes photos, je veux que NY me soit restituée dans la boîte telle que je la vois dans la réalité, et pour le coup Ny est très fidèle. J'aime les ambiances, et dès que je sens quelque chose de particulier je déclenche, j'aime les visages, les gens qui marchent, les rues défoncées , les reflets sur les buildings, la lumière si changeante qui passe de l'ocre au petit matin pour devenir très crue les jours de plein soleil, la pluie, le brouillard qui fait parfois disparaître la flèche de l'empire.
New York est pour moi une ville d'ambiances, chaque quartier à son ambiance. Je peux différencier un escalier du village d'un escalier d'harlem. Pourtant ils se ressemblent, mais l'ambiance n'est pas la même, et elle transpire sur la photo.
Je suis allée à NY en octobre 2008, j'ai fait beaucoup de photos on va dire "touristiques". La première fois on ne peut pas résister à lady liberty, à l'empire, aux néons de times square, et j'ai fait des photos plus intimistes.
Je retourne à NY en avril prochain et je compte fouiller et fouiller encore, pour trouver des merveilles. Je compte explorer de fond en comble harlem qui pour moi est une pépite en terme de photogénie, et brooklyn.
J'aime cette ville inconditionnellement, avec son énergie, sa puissance, son côté m'as-tu-vu parfois, ses coins glauques aussi. New York raconte une histoire à chaque coin de rue et cette histoire je prends un plaisir fou à la mettre en boîte, dans ma boîte à mémoire.
Lorsque je rentre de voyage en général avant même de m'occuper de mes affaires personnelles, je trie, je classe mes photos. Je les sauvegarde, puis je fais des livres, des dvd, des diaporamas. Puis je les oublie et des mois plus tard rien qu'en ouvrant un de mes livres je me replonge dans l'ambiance. C'est comme si un parfum s'en dégageait.
Rares sont les villes qui m'ont autant donné de bonheur que NY et j'y ai puisé une énergie folle que j'ai gardé longtemps après mon retour.
Voilà ma vision de New York. Ville hors du commun, attachante. Je lui ai volé beaucoup d'instants avec mon reflex, je voulais lui rendre quelque chose... c'est pourquoi je me marie là bas en avril, elle sera mon témoin!
New York est pour moi une ville d'ambiances, chaque quartier à son ambiance. Je peux différencier un escalier du village d'un escalier d'harlem. Pourtant ils se ressemblent, mais l'ambiance n'est pas la même, et elle transpire sur la photo.
Je suis allée à NY en octobre 2008, j'ai fait beaucoup de photos on va dire "touristiques". La première fois on ne peut pas résister à lady liberty, à l'empire, aux néons de times square, et j'ai fait des photos plus intimistes.
Je retourne à NY en avril prochain et je compte fouiller et fouiller encore, pour trouver des merveilles. Je compte explorer de fond en comble harlem qui pour moi est une pépite en terme de photogénie, et brooklyn.
J'aime cette ville inconditionnellement, avec son énergie, sa puissance, son côté m'as-tu-vu parfois, ses coins glauques aussi. New York raconte une histoire à chaque coin de rue et cette histoire je prends un plaisir fou à la mettre en boîte, dans ma boîte à mémoire.
Lorsque je rentre de voyage en général avant même de m'occuper de mes affaires personnelles, je trie, je classe mes photos. Je les sauvegarde, puis je fais des livres, des dvd, des diaporamas. Puis je les oublie et des mois plus tard rien qu'en ouvrant un de mes livres je me replonge dans l'ambiance. C'est comme si un parfum s'en dégageait.
Rares sont les villes qui m'ont autant donné de bonheur que NY et j'y ai puisé une énergie folle que j'ai gardé longtemps après mon retour.
Voilà ma vision de New York. Ville hors du commun, attachante. Je lui ai volé beaucoup d'instants avec mon reflex, je voulais lui rendre quelque chose... c'est pourquoi je me marie là bas en avril, elle sera mon témoin!
Merci à toi pour ce joli récit!
New York ne cesse de m'inspirer... Voici un petit texte écrit hier soir en regardant une photo prise lors de mon séjour!
"Je vous présente Archie… A vrai dire, je ne connais pas son véritable nom. A vrai dire je ne connais pas sa véritable histoire. Je ne connais pas cet homme. Mais deux seconde de sa vie se sont retrouvées dans mon NikonD3000.
New York… 1944. La guerre prend fin et la vie commence…Glenn Miller et Ella Fitzgerald sont sur les ondes, In the Mood résonne encore et Archie fait partie de ces « Noirs qui s’asseyent dans le fond du bus ». Il travaille à l’usine avec d’autres hommes, toutes races confondues. L’agent n’a pas d’odeur, mais il n’a pas de couleur non plus.
En fin de journée, il rentre chez lui en croisant dans les rues de Manhattan, les Marines de retour d’Europe. A leurs bras de jolies et jeunes américaines se pavanant en jupe à la limite de la décence. La route est longue jusqu’à son appartement de la 123ème mais il profite de chaque instant.
Il sait qu’il arrive lorsque les trompettes et autres saxos sortent des voitures aux fenêtres ouvertes ou des appartements et se mêlent aux rires et aux cris des enfants qui jouent dans la rue. De temps en temps, il entend une mère crier après son gamin du haut du cinquième étage sans ascenseur. « Dépêche toi ou j’appelle ton père ! ».
Archie adore les enfants, Jackie est d’ailleurs enceinte du second, une petite fille cette fois. Il fonde de grands espoirs sur ses progénitures. Peut-être iront-ils à l’université même. Chaque dollar économisé le rapproche un peu plus de ce rêve.
Pour l’instant Louis est bon élève mais préfère tout de même s’amuser que travailler pour l’école. Plus tard il voudrait être joueur de baseball ou Président des Etats-Unis. Archie lui répond en souriant « le baseball n’est pas un métier et on ne verra jamais un président Noir »… Quelques années plus tard, il remarquera qu’il se trompait.
Sa vie lui convient. Bien loin de ses rêves d’enfants pourtant. Il voulait être photographe sportif et prendre des centaines de clichés de Lou Gehrigh et de Babe Ruth au Yankee Stadium… Quelle utopie ! Il avait apprit à déposer ce rêve dans un coin de sa tête et ne le sortir qu’à la nuit tombée.
New York…2009. La guerre est toujours là mais plus sournoise que jamais et les occidentaux font comme si les deux premières avaient suffit. « Celle-ci, c’est pour les autres ! » semblent-ils se dire. Jackie est morte lors des attentats du 11 septembre 2001. Louis et Serena sont allés à l’université et ont quittés la maison depuis longtemps. Serena vit en Europe et Louis est, hélas, partit en Irak. Archie a quitté Harlem pour s’installer à Manhattan. Il s’est acheté un trépied et un superbe appareil photo, encore mieux que ce dont il a pu rêver enfant. Il le promène dans son sac en cuir élimé mais Lou Gehrig n’est plus…Archie a été une fois au stade, voir Derek Jeter. Mais c’est pas pareil… Plus rien n’est pareil.
New York semble aller à une vitesse qu’il ne parvient plus à suivre. Au milieu de la foule, il se sent perdu.
Que photographier maintenant ? Tout évolue tellement vite qu’à peine aura-t-il appuyé sur le déclencheur que la mode aura changé. Les hommes s’habillent en femmes, les femmes prônent leur indépendance plus que jamais. L’argent ne fait toujours pas le bonheur mais fait tout le reste, dirait-on.
Plus de Bing Crosby à travers les fenêtres ouvertes des voitures et des appartements. Ho non ! Maintenant, les gens s’enferment et les enfants ne jouent plus dans la rue…Ca lui manque terriblement.
Immobile parmi la foule, les taxis et les cars de touristes, Archie est nostalgique… Jackie lui manque aussi. Il sait que bientôt il rangera définitivement son appareil argentique, ses mètres de films et son trépied acheté d’occasion.
New York lui a donné beaucoup mais la solitude, ça, Manhattan n’arrive pas à la combler. « Se sentir seul dans une si grande ville, c’est un comble ! » pense-t-il.
« Aurevoir New York City.. .et Merci. »
[ image externe ]
New York ne cesse de m'inspirer... Voici un petit texte écrit hier soir en regardant une photo prise lors de mon séjour!
"Je vous présente Archie… A vrai dire, je ne connais pas son véritable nom. A vrai dire je ne connais pas sa véritable histoire. Je ne connais pas cet homme. Mais deux seconde de sa vie se sont retrouvées dans mon NikonD3000.
New York… 1944. La guerre prend fin et la vie commence…Glenn Miller et Ella Fitzgerald sont sur les ondes, In the Mood résonne encore et Archie fait partie de ces « Noirs qui s’asseyent dans le fond du bus ». Il travaille à l’usine avec d’autres hommes, toutes races confondues. L’agent n’a pas d’odeur, mais il n’a pas de couleur non plus.
En fin de journée, il rentre chez lui en croisant dans les rues de Manhattan, les Marines de retour d’Europe. A leurs bras de jolies et jeunes américaines se pavanant en jupe à la limite de la décence. La route est longue jusqu’à son appartement de la 123ème mais il profite de chaque instant.
Il sait qu’il arrive lorsque les trompettes et autres saxos sortent des voitures aux fenêtres ouvertes ou des appartements et se mêlent aux rires et aux cris des enfants qui jouent dans la rue. De temps en temps, il entend une mère crier après son gamin du haut du cinquième étage sans ascenseur. « Dépêche toi ou j’appelle ton père ! ».
Archie adore les enfants, Jackie est d’ailleurs enceinte du second, une petite fille cette fois. Il fonde de grands espoirs sur ses progénitures. Peut-être iront-ils à l’université même. Chaque dollar économisé le rapproche un peu plus de ce rêve.
Pour l’instant Louis est bon élève mais préfère tout de même s’amuser que travailler pour l’école. Plus tard il voudrait être joueur de baseball ou Président des Etats-Unis. Archie lui répond en souriant « le baseball n’est pas un métier et on ne verra jamais un président Noir »… Quelques années plus tard, il remarquera qu’il se trompait.
Sa vie lui convient. Bien loin de ses rêves d’enfants pourtant. Il voulait être photographe sportif et prendre des centaines de clichés de Lou Gehrigh et de Babe Ruth au Yankee Stadium… Quelle utopie ! Il avait apprit à déposer ce rêve dans un coin de sa tête et ne le sortir qu’à la nuit tombée.
New York…2009. La guerre est toujours là mais plus sournoise que jamais et les occidentaux font comme si les deux premières avaient suffit. « Celle-ci, c’est pour les autres ! » semblent-ils se dire. Jackie est morte lors des attentats du 11 septembre 2001. Louis et Serena sont allés à l’université et ont quittés la maison depuis longtemps. Serena vit en Europe et Louis est, hélas, partit en Irak. Archie a quitté Harlem pour s’installer à Manhattan. Il s’est acheté un trépied et un superbe appareil photo, encore mieux que ce dont il a pu rêver enfant. Il le promène dans son sac en cuir élimé mais Lou Gehrig n’est plus…Archie a été une fois au stade, voir Derek Jeter. Mais c’est pas pareil… Plus rien n’est pareil.
New York semble aller à une vitesse qu’il ne parvient plus à suivre. Au milieu de la foule, il se sent perdu.
Que photographier maintenant ? Tout évolue tellement vite qu’à peine aura-t-il appuyé sur le déclencheur que la mode aura changé. Les hommes s’habillent en femmes, les femmes prônent leur indépendance plus que jamais. L’argent ne fait toujours pas le bonheur mais fait tout le reste, dirait-on.
Plus de Bing Crosby à travers les fenêtres ouvertes des voitures et des appartements. Ho non ! Maintenant, les gens s’enferment et les enfants ne jouent plus dans la rue…Ca lui manque terriblement.
Immobile parmi la foule, les taxis et les cars de touristes, Archie est nostalgique… Jackie lui manque aussi. Il sait que bientôt il rangera définitivement son appareil argentique, ses mètres de films et son trépied acheté d’occasion.
New York lui a donné beaucoup mais la solitude, ça, Manhattan n’arrive pas à la combler. « Se sentir seul dans une si grande ville, c’est un comble ! » pense-t-il.
« Aurevoir New York City.. .et Merci. »
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bon nicky13 maintenant tu vas prendre une décision!!!! loll tu vas lustrer les touches de ton clavier et enfin te décider à écrire ton livre!!! tu es pleine d'inspiration et ton récit est très dynamique. Merci pour ces quelques lignes pleines de poésie, tu as un talent d'écriture que tu devrais exploiter.
Je me permet de remonter ce post pour vous faire part de ma dernière inspiration...
"Si New York m'était conté…
Si New York m'était conté, on me parlerait de Manhattan et de grattes-ciel, des avenues et de ses rues numérotées.
On me raconterait l'Empire State Building qui domine, et Miss Liberty, une française expatriée, qui observe.
On me parlerait du Rockefeller et du Chrysler. Du Madison Square et de ses supporters.
Le Yankee Stadium, les pinstripes en white and blue rendent fous!
On me décrirait le majestueux pont de Brooklyn et l'ancestral pont de Manhattan…
Si New York m'étais conté, on me parlerait de ses quartiers. Ces petits mondes forgés par les gens qui y vivent.
Où Harlem se dit en gospel. Greenwich et Soho auraient pu être des noms de grands couturiers. Eastside, Westside…coast to coast…Coast too cost!
Downtown retentit sombrement, comme un écho, disparaissant dans les eaux troubles de l'Hudson. Emportant avec lui les âmes perdues dans une puissance trop grande…
Central Park respire et insuffle à la ville un peu d'air vert entre le verre et le gris…
Si New York m'était conté, on me décrirait ces lumières sur Time Square… La Place du Temps, quelle ironie dans une ville où le temps n'existe pas! Il s'envole dès qu'on détourne les yeux, à la vitesse de la lumière, d' ailleurs!
Si New York m'était conté, on me dirait le Bronx, Brooklyn et le Queens…Des noms de cinéma, qu'on n'entend qu'à la télévision. Et pourtant, j'y marque l' empreinte de mes propres pas…
Si New York m'était conté on me parlerait cinéma et littérature, essai et succès, acteurs,vie de rêve... On me parlerait aussi musique, jazz, hip hop, à chaque quartier son timbre de voix?
Oui, si New York m'était conté, on me parlerait de tout ça…
Mais me parlerait-on de ces gens-là, de ses habitants, de leurs vies et de leurs tourments? De leur portefeuille un peu maigre et de leur deux pièces un peu étroit? De leur rêves d'enfant et de leur vie maintenant? Le rêve américain semble bien rétréci vu d'ici…
Un touriste qui rêve d'être un new-yorkais face à un new-yorkais qui rêve d'être un jour touriste dans sa propre ville… Profiter de ce qu'il ne fait qu'apercevoir, raconter ce qu'il ne fait qu'imaginer, comprendre l'engouement de ces autres gens à adorer sa ville et, à son tour, pouvoir raconter l'Empire State Building."
"Si New York m'était conté…
Si New York m'était conté, on me parlerait de Manhattan et de grattes-ciel, des avenues et de ses rues numérotées.
On me raconterait l'Empire State Building qui domine, et Miss Liberty, une française expatriée, qui observe.
On me parlerait du Rockefeller et du Chrysler. Du Madison Square et de ses supporters.
Le Yankee Stadium, les pinstripes en white and blue rendent fous!
On me décrirait le majestueux pont de Brooklyn et l'ancestral pont de Manhattan…
Si New York m'étais conté, on me parlerait de ses quartiers. Ces petits mondes forgés par les gens qui y vivent.
Où Harlem se dit en gospel. Greenwich et Soho auraient pu être des noms de grands couturiers. Eastside, Westside…coast to coast…Coast too cost!
Downtown retentit sombrement, comme un écho, disparaissant dans les eaux troubles de l'Hudson. Emportant avec lui les âmes perdues dans une puissance trop grande…
Central Park respire et insuffle à la ville un peu d'air vert entre le verre et le gris…
Si New York m'était conté, on me décrirait ces lumières sur Time Square… La Place du Temps, quelle ironie dans une ville où le temps n'existe pas! Il s'envole dès qu'on détourne les yeux, à la vitesse de la lumière, d' ailleurs!
Si New York m'était conté, on me dirait le Bronx, Brooklyn et le Queens…Des noms de cinéma, qu'on n'entend qu'à la télévision. Et pourtant, j'y marque l' empreinte de mes propres pas…
Si New York m'était conté on me parlerait cinéma et littérature, essai et succès, acteurs,vie de rêve... On me parlerait aussi musique, jazz, hip hop, à chaque quartier son timbre de voix?
Oui, si New York m'était conté, on me parlerait de tout ça…
Mais me parlerait-on de ces gens-là, de ses habitants, de leurs vies et de leurs tourments? De leur portefeuille un peu maigre et de leur deux pièces un peu étroit? De leur rêves d'enfant et de leur vie maintenant? Le rêve américain semble bien rétréci vu d'ici…
Un touriste qui rêve d'être un new-yorkais face à un new-yorkais qui rêve d'être un jour touriste dans sa propre ville… Profiter de ce qu'il ne fait qu'apercevoir, raconter ce qu'il ne fait qu'imaginer, comprendre l'engouement de ces autres gens à adorer sa ville et, à son tour, pouvoir raconter l'Empire State Building."
C'est quoi les pinstripesNicky13 a écrit :Le Yankee Stadium, les pinstripes en white and blue rendent fous!
Génial le jeu de mot !!!Nicky13 a écrit :Eastside, Westside…coast to coast…Coast too cost!
J'ai pas compris la fin (entre le verre et le gris)Nicky13 a écrit :Central Park respire et insuffle à la ville un peu d'air vert entre le verre et le gris…
Franchement c'est magnifique ce que tu écris
J'ai du mal à croire que cà sorte de ton être dissipé... 
Nan blague à part, je suis resté sur le cul en lisant ça. Chapeau !!!
Oui mon esprit dissipé sort parfois de ces trucs! Pinstripes: c'est les rayures typiques bleues et blanches des Yankees.
Le verre et le gris: le verre (la matière) des grattes-ciel (ou grattes-cieux! lool) et le gris de la ville, des buildings...
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laurentnyc
- Messages : 1013
- Inscription : 29 mars 2010, 09:23
Oulala... ! Je suis ému, bouleversé, émoustillé !! Non mais sans rire je suis surtout impressionné, j’avais jamais lu ce topic du coup j’ai tout englouti d’un trait !
Evidemment je suis d’accord avec tout le monde, tu as un talent incontestable pour l’écriture.
Bien sur nous aimons tous ces choses qui font que NY est NY mais nous n’arrivons pas forcément à dire comment, pourquoi ou combien, toi si. Bravo
Evidemment je suis d’accord avec tout le monde, tu as un talent incontestable pour l’écriture.
Bien sur nous aimons tous ces choses qui font que NY est NY mais nous n’arrivons pas forcément à dire comment, pourquoi ou combien, toi si. Bravo
![[ image externe ]](http://img714.imageshack.us/img714/7093/newyorknikond60184.th.jpg){kind=link}
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