Je me demandais juste quelle opinion chacun avait de Andy Warhol, du personnage comme de la personne, de son Oeuvre, de son rapport à New York, tout ce qui peut vous venir à l'esprit quand vous pensez à ce nom!
voilà merci
Que pensez-vous du personnage Andy Warhol ?
Modérateurs : patricia, Didier
Que pensez-vous du personnage Andy Warhol ?
Salut à tout le monde!
Je me demandais juste quelle opinion chacun avait de Andy Warhol, du personnage comme de la personne, de son Oeuvre, de son rapport à New York, tout ce qui peut vous venir à l'esprit quand vous pensez à ce nom!
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Je me demandais juste quelle opinion chacun avait de Andy Warhol, du personnage comme de la personne, de son Oeuvre, de son rapport à New York, tout ce qui peut vous venir à l'esprit quand vous pensez à ce nom!
voilà merci
non clapton, j'aime juste cet homme au moins au point de traverser l'atantique et me perdre au find fond de la Slovaquie (entre autres). Mais les gens le connaissent en général seulement à travers l'image que les médias en diffusent, ce qui est très souvent traitre et comme il semblerait qu'aujourd'hui les médias pensent pour beaucoup de gens qui d'ailleurs se confortent très bien dans l'opinion publique, j'aurais juste été curieuse de savoir l'image qu'ont les gens d'Andy Warhol. Peu connaissent rien que son enfance, pourtant appréhender son oeuvre sans s'y référer rien qu'un peu est quasiment impossible. Voilà 
Et bien, personnellement, ce qui m'interpelle le plus chez Andy Warhol c'est le fossé qu'il y a entre l'homme et le personnage.
Ses parents ont débarqué au début des 1920's aux USA, ils arrivaient de Tchécoslovaquie. Ils étaient aussi pauvres qu'on peut l'imaginer.Ils ont eu trois garçons, Paul, John, et un petit Andrew en 1928.
Ils étaient très pauvres, très croyants en dieu, un intérieur inondés d'icônes religieuses, et la notion d'icônes est souvent sous estimée, je trouve en tout cas, dans l'Oeuvre d'Andy Warhol, pour ce qui est des sérigraphies en tout cas, et certains de ses premiers films comme Empire.
Mais toujours est-il qu'il a eu une relation très privilégiée avec sa maman Julia qui a été sans aucun doute la personne la plus importante dans sa vie. Faut savoir qu'Andy très jeune a eu une santé très fragile, physique comme psychologique, c'était un jeune garçon très frêle, très discret, une de ses amies du Carnegie Institute avait un jour dit de lui qu'il était une "non-verbal person", mais tous sans exception ont noté très vite son intuition, son génie, c'était comme si c'était naturel chez lui, comme beaucoup d'artistes d'ailleurs, je ne pense pas que l'on puisse s'improviser artiste ou même l'apprendre. Mais tout petit il était d'une timidité maladive, le rapport aux autres l'effrayait et les plus fragiles sont toujours ceux dont on se moque le plus à cet âge.
Il a fait trois dépressions nerveuses, à 8,9 et 10 ans. C'est à sa troisième (je crois) que Julia a décidé de le garder un an auprès d'elle sans qu'il aille à l'école et le lien entre eux est devenu très fort, c'est une période clé dans sa vie car pendant une année il n'était baigné que dans ses livres de coloriages et images de Shirley Temple et autres icônes de l'époque, il n'y avait guère d'autres médias à l'époque, surtout au sein d'une familel aussi pauvre, son père est mort quand il avait 11 ans. Mais son père Andrei avait eu l'intuition avant tout le monde qu'Andy était à part car les milliers de dollars de chèques postaux qu'il avait économisé, il les a confié à l'aîné de ses frères pour qu'ils servent à payer les études supérieures d'Andy. A l'époque dans un tel milieu, faire des études supérieures, surtout en Art, on imagine bien sûr ce que çe représentait.
Andy a toujours été le préféré de Julia, ses frères l'admettent, ils l'adoraient aussi, il a été très choyé, a reçu beaucoup d'amour, sa mère l'a très souvent emmené à l'église, et Julia avait cette culture religieuse qu'elle avait connu en Tchécoslovaquie, mais Andy lui avec le temps a cherché quelles étaient les icônes de son temps.Marilyn aussi bien qu'une pot de soupe, tant que celui-ci était un pot de soupe Campbells'.Le mot icône est souvent utilisé mais on oublie souvent que c'est avant tout un terme religieux, et il y a là une partie (une partie seulement) de l'essence même de l'oeuvre d'Andy Warhol, la notion d'icône. Et l'oeuvre d'Andy Warhol est sûrement le plus beau témoignage de son temps, et quand on y pense, peut-être le plus sincère...
Mais pour moi le personnage même d'Andy Warhol fait partie de son Oeuvre, et la factory est quelque chose d'nique dans l'Histoire de l'Art, peu importe jusqu'où l'on remonte, c'était le microcosme de tout ce que l'Amérique puritaine refusait de voir mais qui faisait pourtant partie intégrante de l'Amérique. L'Oeuvre d'Andy Warhol est peut-être celle qui s'inscrit le plus dans son contexte historico-social et au-delà le mouvement Pop Art sans aucun doute mais n'est-ce pas François Furet qui disait que l'Amérique n'a pas d'idéologie puisqu'elle en est une?
Après je ne vais pas faire un exposé écrit sur son Oeuvre parce que c'est l'homme auquel je suis le plus attachée mais on sait souvent qu'Andy se plaisait à faire tourner les médias en rond, son (pseudo?)-cynisme est aujourd'hui légendaire, beaucoup disent qu'ils a utilisé des gens comme Edie Sedgwick, ou même Nico ou Bibbe Hansen, et tourné ça à son avantage. Edie était dépendante des drogues bien avant d'entrer à la Factory et de connaître Andy Warhol, elle est morte d'une overdose avant même l'age de 30 ans, dira-t-on que c'est de la faute à Andy? ce serait trop facile. Et Freddie Herko, les gens se scandalisent de ce qu'Andy a dit de sa mort (Freddie Herko était un magnifique danseur, drogué, fragile, mais magnifique, et un jour, il a décidé de mettre fin à sa vie, sur le requiem de Mozart, dans une ultime danse, et au terme de la danse il s'est jeté dans le vide, du 7 ou 8è étage et Andy en avait dit qu' il aurait dû les prévenir pour qu'ils puissent filmé) mais ou est le scandale ? Freddie était homosexuel, et en plus toxico, quand on sait que jusqu'en 1969 la vente d'alcool était prohibée dans les bars new-yorkais et qu'il était interdit aux hommes de danser ensemble, où est le scandale? L'Amérique était étouffée par la morale, l'a toujours été, il fallait qu'à un moment ça explose, ce moment, ça a été les sixties. On ne peut pas en vouloir à Andy d'avoir été le témoin de son temps ni d'avoir montrer à l'Amérique son reflet , non sans ironie peut-être, mais pourtant sans jamais l'exagérer. Mais qu'on ne me dise pas qu'Andy avait un coeur de pierre, le personnage a tellement marqué qu'on oublie souvent qu'il a aussi été un homme. Ses millions de dollars ne lui ont jamais fait oublier d'où il venait, ne l'ont jamais empêché d'aller aider les associations de son quartier pour distribuer des repas aux sans-abris, de payer les études de l'un de ses neveux car son frère n'avait pas assez d'argent pour le faire, et surtout, de léguer à sa mort 70 millions de dollars pour la création d'une fondation destinée à supporter et promouvoir l'Art, indispensable pour lui à une démocratie, aujourd'hui la Fondation Andy Warhol pour les arts visuels. Andy Warhol a toujours eu beaucoup de gens autour de lui, qu'il l'ont adoré, adulé, détesté, mais je ne sais pas s'il n'y en a jamais eu qu'ils l'ont juste aimé, un meilleur ami, un petit ami. Cet homme a sacrifié sa vie pour son oeuvre, c'est peut-être discutable mais pour moi c'est bien le cas. Et quand je vois une photo comme celle que Christopher Makos a faite de lui travesti, quand je vois l'expression de son regard, je me dis mais pourquoi personne n'a rien vu? comment sont-ils passés à côté?Parce qu'avant d'exprimer le mal être de toute une communauté, celle en partie de la contre-culture, en étant attentif, on peut aussi lire en filigrane le mal-être d'un seul homme.Andy est mort seul dans la nuit du 22 février 1987, et la seule personne qui aurait veillé à son chevet, c'est Julia sa maman, qui elle était déjà "partie chez Bloomingdale's" comme Andy se plaisait à le dire.Pour moi, avant d'être un grand artiste, c'est surtout un homme très attachant, que j'aime vraiment, que j'aime tout court. Je sais que beaucoup ont regretté "d'être passé à côté" après sa mort, de ne pas avoir vu avant ce que cachait la carapace qu'il s'était construit.Comme Lou Reed. Et quant à ceux qui me disent que le l'idéalisent du haut de mes 20 printemps, je les sais très nombreux, j'ai juste envie de dire que de lui rendre un peu d'humanité; pas de génie, pas de divin, juste de l'humanité, ce n'est pas cher payé. Je m'évertue à le faire depuis près de 6 ans, et je continuerai à le faire pour encore de nombreuses années, parce qu'il le mérite. J'espère en tout cas Cédric que j'aurais pu donner une autre vision d'Andy Warhol.Juste un homme, aussi.
Ses parents ont débarqué au début des 1920's aux USA, ils arrivaient de Tchécoslovaquie. Ils étaient aussi pauvres qu'on peut l'imaginer.Ils ont eu trois garçons, Paul, John, et un petit Andrew en 1928.
Ils étaient très pauvres, très croyants en dieu, un intérieur inondés d'icônes religieuses, et la notion d'icônes est souvent sous estimée, je trouve en tout cas, dans l'Oeuvre d'Andy Warhol, pour ce qui est des sérigraphies en tout cas, et certains de ses premiers films comme Empire.
Mais toujours est-il qu'il a eu une relation très privilégiée avec sa maman Julia qui a été sans aucun doute la personne la plus importante dans sa vie. Faut savoir qu'Andy très jeune a eu une santé très fragile, physique comme psychologique, c'était un jeune garçon très frêle, très discret, une de ses amies du Carnegie Institute avait un jour dit de lui qu'il était une "non-verbal person", mais tous sans exception ont noté très vite son intuition, son génie, c'était comme si c'était naturel chez lui, comme beaucoup d'artistes d'ailleurs, je ne pense pas que l'on puisse s'improviser artiste ou même l'apprendre. Mais tout petit il était d'une timidité maladive, le rapport aux autres l'effrayait et les plus fragiles sont toujours ceux dont on se moque le plus à cet âge.
Il a fait trois dépressions nerveuses, à 8,9 et 10 ans. C'est à sa troisième (je crois) que Julia a décidé de le garder un an auprès d'elle sans qu'il aille à l'école et le lien entre eux est devenu très fort, c'est une période clé dans sa vie car pendant une année il n'était baigné que dans ses livres de coloriages et images de Shirley Temple et autres icônes de l'époque, il n'y avait guère d'autres médias à l'époque, surtout au sein d'une familel aussi pauvre, son père est mort quand il avait 11 ans. Mais son père Andrei avait eu l'intuition avant tout le monde qu'Andy était à part car les milliers de dollars de chèques postaux qu'il avait économisé, il les a confié à l'aîné de ses frères pour qu'ils servent à payer les études supérieures d'Andy. A l'époque dans un tel milieu, faire des études supérieures, surtout en Art, on imagine bien sûr ce que çe représentait.
Andy a toujours été le préféré de Julia, ses frères l'admettent, ils l'adoraient aussi, il a été très choyé, a reçu beaucoup d'amour, sa mère l'a très souvent emmené à l'église, et Julia avait cette culture religieuse qu'elle avait connu en Tchécoslovaquie, mais Andy lui avec le temps a cherché quelles étaient les icônes de son temps.Marilyn aussi bien qu'une pot de soupe, tant que celui-ci était un pot de soupe Campbells'.Le mot icône est souvent utilisé mais on oublie souvent que c'est avant tout un terme religieux, et il y a là une partie (une partie seulement) de l'essence même de l'oeuvre d'Andy Warhol, la notion d'icône. Et l'oeuvre d'Andy Warhol est sûrement le plus beau témoignage de son temps, et quand on y pense, peut-être le plus sincère...
Mais pour moi le personnage même d'Andy Warhol fait partie de son Oeuvre, et la factory est quelque chose d'nique dans l'Histoire de l'Art, peu importe jusqu'où l'on remonte, c'était le microcosme de tout ce que l'Amérique puritaine refusait de voir mais qui faisait pourtant partie intégrante de l'Amérique. L'Oeuvre d'Andy Warhol est peut-être celle qui s'inscrit le plus dans son contexte historico-social et au-delà le mouvement Pop Art sans aucun doute mais n'est-ce pas François Furet qui disait que l'Amérique n'a pas d'idéologie puisqu'elle en est une?
Après je ne vais pas faire un exposé écrit sur son Oeuvre
parce que c'est l'homme auquel je suis le plus attachée mais on sait souvent qu'Andy se plaisait à faire tourner les médias en rond, son (pseudo?)-cynisme est aujourd'hui légendaire, beaucoup disent qu'ils a utilisé des gens comme Edie Sedgwick, ou même Nico ou Bibbe Hansen, et tourné ça à son avantage. Edie était dépendante des drogues bien avant d'entrer à la Factory et de connaître Andy Warhol, elle est morte d'une overdose avant même l'age de 30 ans, dira-t-on que c'est de la faute à Andy? ce serait trop facile. Et Freddie Herko, les gens se scandalisent de ce qu'Andy a dit de sa mort (Freddie Herko était un magnifique danseur, drogué, fragile, mais magnifique, et un jour, il a décidé de mettre fin à sa vie, sur le requiem de Mozart, dans une ultime danse, et au terme de la danse il s'est jeté dans le vide, du 7 ou 8è étage et Andy en avait dit qu' il aurait dû les prévenir pour qu'ils puissent filmé) mais ou est le scandale ? Freddie était homosexuel, et en plus toxico, quand on sait que jusqu'en 1969 la vente d'alcool était prohibée dans les bars new-yorkais et qu'il était interdit aux hommes de danser ensemble, où est le scandale? L'Amérique était étouffée par la morale, l'a toujours été, il fallait qu'à un moment ça explose, ce moment, ça a été les sixties. On ne peut pas en vouloir à Andy d'avoir été le témoin de son temps ni d'avoir montrer à l'Amérique son reflet , non sans ironie peut-être, mais pourtant sans jamais l'exagérer. Mais qu'on ne me dise pas qu'Andy avait un coeur de pierre, le personnage a tellement marqué qu'on oublie souvent qu'il a aussi été un homme. Ses millions de dollars ne lui ont jamais fait oublier d'où il venait, ne l'ont jamais empêché d'aller aider les associations de son quartier pour distribuer des repas aux sans-abris, de payer les études de l'un de ses neveux car son frère n'avait pas assez d'argent pour le faire, et surtout, de léguer à sa mort 70 millions de dollars pour la création d'une fondation destinée à supporter et promouvoir l'Art, indispensable pour lui à une démocratie, aujourd'hui la Fondation Andy Warhol pour les arts visuels. Andy Warhol a toujours eu beaucoup de gens autour de lui, qu'il l'ont adoré, adulé, détesté, mais je ne sais pas s'il n'y en a jamais eu qu'ils l'ont juste aimé, un meilleur ami, un petit ami. Cet homme a sacrifié sa vie pour son oeuvre, c'est peut-être discutable mais pour moi c'est bien le cas. Et quand je vois une photo comme celle que Christopher Makos a faite de lui travesti, quand je vois l'expression de son regard, je me dis mais pourquoi personne n'a rien vu? comment sont-ils passés à côté?Parce qu'avant d'exprimer le mal être de toute une communauté, celle en partie de la contre-culture, en étant attentif, on peut aussi lire en filigrane le mal-être d'un seul homme.Andy est mort seul dans la nuit du 22 février 1987, et la seule personne qui aurait veillé à son chevet, c'est Julia sa maman, qui elle était déjà "partie chez Bloomingdale's" comme Andy se plaisait à le dire.Pour moi, avant d'être un grand artiste, c'est surtout un homme très attachant, que j'aime vraiment, que j'aime tout court. Je sais que beaucoup ont regretté "d'être passé à côté" après sa mort, de ne pas avoir vu avant ce que cachait la carapace qu'il s'était construit.Comme Lou Reed. Et quant à ceux qui me disent que le l'idéalisent du haut de mes 20 printemps, je les sais très nombreux, j'ai juste envie de dire que de lui rendre un peu d'humanité; pas de génie, pas de divin, juste de l'humanité, ce n'est pas cher payé. Je m'évertue à le faire depuis près de 6 ans, et je continuerai à le faire pour encore de nombreuses années, parce qu'il le mérite. J'espère en tout cas Cédric que j'aurais pu donner une autre vision d'Andy Warhol.Juste un homme, aussi.
merci quand je commence sur lui, rien ne m'arrête, il y a tellement de choses à dire, je n'ai pas parler de Valerie Solanas, de John Gould, de Billy Name, tellement à dire...
Mais il y a des livres vraiment intéressants qui m'ont touché, je ne pense pas qu'on puisse les trouver en France mais le net fait des miracles de nos jours
Il y a "The day the Factory died" un petit livre incroyable et très touchant, sur le memorial qui avait eu lieu le 1er avril 1987 un peu plus d'un mois après sa mort dans la cathédrale St Patrick.
Et aussi, surtout, le livre "Uncle Andy's" un livre pour enfant que James Warhola le neveu d'Andy a écrit et illustré (il est illustrateur pour livres pour enfants). Non seulement parce qu'il y est question de son Oncle Andy et nom d'Andy Warhol et aussi parce que James Warhola est un homme incroyablement attachant, adorable, d'une gentillesse incroyable, c'est lui qui a entrepris de créer le musée Andy Warhol à Medzilaborce en Slovaquie. On ne peut être qu'admiratif devant un homme comme lui, je l'aime énormément, il m'a beaucoup appris sur son oncle et il est d'une modestie presque inhumaine. Il vient de racheter la maison où Andy a grandi dans la banlieue de Pittsburgh pour en faire un musée. Montrer un autre Andy que celui des médias lui tient très à coeur, c'est sûrement la raison pour laquelle je l'aime tant, mais il faut vraiment voir son livre!
Bon j'arrête là sinon je vais repartir pour un tour
quand je commence sur lui, rien ne m'arrête, il y a tellement de choses à dire, je n'ai pas parler de Valerie Solanas, de John Gould, de Billy Name, tellement à dire...Mais il y a des livres vraiment intéressants qui m'ont touché, je ne pense pas qu'on puisse les trouver en France mais le net fait des miracles de nos jours
Il y a "The day the Factory died" un petit livre incroyable et très touchant, sur le memorial qui avait eu lieu le 1er avril 1987 un peu plus d'un mois après sa mort dans la cathédrale St Patrick.
Et aussi, surtout, le livre "Uncle Andy's" un livre pour enfant que James Warhola le neveu d'Andy a écrit et illustré (il est illustrateur pour livres pour enfants). Non seulement parce qu'il y est question de son Oncle Andy et nom d'Andy Warhol et aussi parce que James Warhola est un homme incroyablement attachant, adorable, d'une gentillesse incroyable, c'est lui qui a entrepris de créer le musée Andy Warhol à Medzilaborce en Slovaquie. On ne peut être qu'admiratif devant un homme comme lui, je l'aime énormément, il m'a beaucoup appris sur son oncle et il est d'une modestie presque inhumaine. Il vient de racheter la maison où Andy a grandi dans la banlieue de Pittsburgh pour en faire un musée. Montrer un autre Andy que celui des médias lui tient très à coeur, c'est sûrement la raison pour laquelle je l'aime tant, mais il faut vraiment voir son livre!
Bon j'arrête là sinon je vais repartir pour un tour
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Tom Sawyer
- C'est l'Amérique !
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- Inscription : 26 mars 2006, 00:44
Je l'ai trouvé ici :Cédric a écrit :Merci beaucoup Drella !
Je recherche une affiche avec une grenouille de Warhol mais dur dur !!!
http://www.animail.com/posters_frog.html