Candidats à l'investiture présidentielle américaine
Modérateurs : patricia, Didier, photos
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Bigoudicheye
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- Inscription : 06 févr. 2008, 21:30
C'est vrai que c'est un truc que je ne comprends pas chez les américains. j'avoue ca me dépasse.
Quand McCain perd un admirateur
Hier, John McCain a perdu Joe Klein, un de ses nombreux admirateurs parmi les pontes médiatiques de Washington
il dit
Il y a quelques mois, j’ai écrit que John McCain était un homme honorable et qu’il mènerait une campagne honorable
J’avais tort.
il se prend aussi un des deux sénateurs du mississippi qui comprend pas McCain.
Hier, John McCain a perdu Joe Klein, un de ses nombreux admirateurs parmi les pontes médiatiques de Washington
il dit
Il y a quelques mois, j’ai écrit que John McCain était un homme honorable et qu’il mènerait une campagne honorable
J’avais tort.
il se prend aussi un des deux sénateurs du mississippi qui comprend pas McCain.
ben voila je vient de voir le nouveaux sondages national sur CNN.
et je m'inquiet de plus en plus!
malgré les gaffes de McCain ses pub et ses de gamin!
Obama perd encore 3 points
Obama avais 48 %
McCain avais 43 % le 30 juillet
le 1 aout
[ image externe ] 47%
[ image externe ] 44%
en plus McCain continue apres sa pub ou il compare Obama a Hilton eteSpears = Obama
voila qu'il compare maintenant Obama a Moïse et Jésus
Il y a deux jours McCain a fait une pub ou il compare obama a paris hiltonujourd’hui, l’équipe du sénateur de l’Arizona remet ça avec une vidéo intitulée The One qui peut se résumer ainsi : Moïse + Jésus = Obama. La vidéo se moque donc du côté messianique de la campagne du prétendant démocrate.
http://www.youtube.com/watch?v=mopkn0lP ... p=70422208
mais bon a a l'air de marché quand ont vois les sondages ....
et je m'inquiet de plus en plus!
malgré les gaffes de McCain ses pub et ses de gamin!
Obama perd encore 3 points
Obama avais 48 %
McCain avais 43 % le 30 juillet
le 1 aout
[ image externe ] 47%
[ image externe ] 44%
en plus McCain continue apres sa pub ou il compare Obama a Hilton eteSpears = Obama
voila qu'il compare maintenant Obama a Moïse et Jésus
Il y a deux jours McCain a fait une pub ou il compare obama a paris hiltonujourd’hui, l’équipe du sénateur de l’Arizona remet ça avec une vidéo intitulée The One qui peut se résumer ainsi : Moïse + Jésus = Obama. La vidéo se moque donc du côté messianique de la campagne du prétendant démocrate.
http://www.youtube.com/watch?v=mopkn0lP ... p=70422208
mais bon a a l'air de marché quand ont vois les sondages ....
Encore une video qui montre l'intelligence de ce grand Monsieur qui est McCain.
Je le dis depuis le début de cette "campagne" (si on appellait ça comme ça, vu les arguments de McCain): je pense qu'Obama ne gagnera pas, malheureusement. Plus les jours passent, plus l'ecart entre les deux diminue.
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Bigoudicheye
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- Inscription : 06 févr. 2008, 21:30
Un long discours de MIchelle Obama
http://fr.youtube.com/watch?v=gLkasGj1JRw. Désolée de poster sur ton territoir D.Zika
http://fr.youtube.com/watch?v=gLkasGj1JRw. Désolée de poster sur ton territoir D.Zika
![[ image externe ]](http://i.cdn.turner.com/cnn/.element/img/2.0/sect/election/main_page/obama.jpg){kind=link}
![[ image externe ]](http://i.cdn.turner.com/cnn/.element/img/2.0/sect/election/main_page/mccain.jpg){kind=link}
en pensait que cette année Jhon McCain aurais u des problèmes a cause du candidat Bob Barr.
mais ont se rend contre que encore une fois c'est le candidat Nader qui pose probleme a Obama
comment en 2000.
ou les democrate disent que c'est de sa faute si Bush a été président il fait pareil ici
tout les 4 ans il se présente et prend des voix aux démocrate
McCain va avoir 72 ans , Nader va en avoir 75 ans.
Nader a 6 %
Barr a 3 %
hier Obama n'avais plus que 3 % d'avance sur McCain aujourd'hui il en a 4%
mais ont se rend contre que encore une fois c'est le candidat Nader qui pose probleme a Obama
comment en 2000.
ou les democrate disent que c'est de sa faute si Bush a été président il fait pareil ici
tout les 4 ans il se présente et prend des voix aux démocrate
McCain va avoir 72 ans , Nader va en avoir 75 ans.
Nader a 6 %
Barr a 3 %
hier Obama n'avais plus que 3 % d'avance sur McCain aujourd'hui il en a 4%
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Bigoudicheye
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- Inscription : 06 févr. 2008, 21:30
Le spécialiste des élections c'est toi. Moi je n'y connais rien. Je ne comprends pas tout, mais je m'y interesse et ça grace à toi.D.Zitka a écrit :Bigoudicheye : loool
pourquoi mon territoire ? lol
J'ai posté le discours parce que franchement je le trouvais bien.
Barack Obama confronté aux méthodes de GW Bush
Barack Obama s'attend à vivre 90 jours d'enfer tant les attaques du parti Républicain seront fortes. C'est d'ailleurs étonnant que McCain cautionne de telles méthodes qui l'avaient emporté lors de la primaire républicaine 1999...
Le Parti Républicain a défini 4 fondamentaux qu'il applique avec une méthode implacable.
Le premier est celui dit du " push polling ". Le sondage n'est pas là pour mesurer l'opinion mais pour la faire. L'opinion peut être faite par deux outils :
* le contenu même d'une question qui porte un message,
* le résultat global car la victoire naît d'un phénomène pour partie auto-entretenu (on vote plus facilement pour le camp du gagnant).
Le second repère c'est de s'attaquer d'abord aux qualités majeures de ses concurrents sans respecter aucune précaution sur la vérité desdites attaques. Obama a du charisme. Il faut tourner ce charisme en dérision ; d'où les vidéos de cette semaine.
Le troisième repère c'est la répétition. Il s'en suit un matraquage de communication notamment par des campagnes web. La pédagogie repose sur la répétition. Il faut donc répéter une attaque et toujours la répéter.
Le quatrième repère réside dans le dynamisme des dernières semaines et des derniers jours de campagne électorale. Les stratèges du parti républicain sont persuadés que les électeurs ont la " mémoire courte " et qu'ils peuvent changer d'avis jusqu'au dernier moment. Les derniers jours seront donc un vrai " feu d'artifice ".
Toutes les dernières campagnes du Parti Républicain reposent sur ces fondamentaux :
* primaires républicaines pour la présidentielle 2000 : un exemple de "push polling" après la primaire du New Hampshire gagnée par McCain contre Bush : Rove lance un sondage sur McCain en demandant si " les électeurs voteraient pour McCain si celui-ci s'était rendu coupable de trahison durant sa guerre du Viet-Nam ". La question porte le message et insinue le doute sur son comportment. Bush ne faisait que reprendre la technique mise en oeuvre pour gagner le Texas quand par exemple il avait lancé un sondage qui, parmi les questions, comportait la question suivante " voteriez-vous toujours pour Ann Richards pour le poste de Gouverneur du Texas en sachant que son équipe est entièrement composée de lesbiennes ? ".
* présidentielle 2004 : Kerry domine dans les sondages. Bien que titulaire des décorations militaires les plus prestigieuses attribuées après des enquêtes minutieuses, John Kerry fait l'objet d'une campagne mettant en cause la réalité de son engagement pendant la guerre du Viet-Nam.
Rove aurait monté de toutes pièces à l'aide de militants républicains rémunérés des déclarations fabriquées visant à attaquer Kerry sur sa qualité principale : son engagement pendant la guerre du Viet-Nam.
Il s'en est suivi un matraquage de communication notamment par des campagnes web qui ont conduit à jeter le doute pendant un moment et conduire Kerry à mobiliser toute son énergie pour se justifier sur un point inconcevable en début de campagne. Il ne tournera la page que lorsque la chute de Kerry dans les sondages avait été amorcée.
Ces fondamentaux ont un seul objectif : construire un vote contre. La mécanique républicaine est partie. Son entreprise de démolition est en marche. C'est l'esprit de la vidéo diffusée hier via Internet :
http://www.youtube.com/watch?v=_nVQaHpO ... w-bush.htm
Barack Obama s'attend à vivre 90 jours d'enfer tant les attaques du parti Républicain seront fortes. C'est d'ailleurs étonnant que McCain cautionne de telles méthodes qui l'avaient emporté lors de la primaire républicaine 1999...
Le Parti Républicain a défini 4 fondamentaux qu'il applique avec une méthode implacable.
Le premier est celui dit du " push polling ". Le sondage n'est pas là pour mesurer l'opinion mais pour la faire. L'opinion peut être faite par deux outils :
* le contenu même d'une question qui porte un message,
* le résultat global car la victoire naît d'un phénomène pour partie auto-entretenu (on vote plus facilement pour le camp du gagnant).
Le second repère c'est de s'attaquer d'abord aux qualités majeures de ses concurrents sans respecter aucune précaution sur la vérité desdites attaques. Obama a du charisme. Il faut tourner ce charisme en dérision ; d'où les vidéos de cette semaine.
Le troisième repère c'est la répétition. Il s'en suit un matraquage de communication notamment par des campagnes web. La pédagogie repose sur la répétition. Il faut donc répéter une attaque et toujours la répéter.
Le quatrième repère réside dans le dynamisme des dernières semaines et des derniers jours de campagne électorale. Les stratèges du parti républicain sont persuadés que les électeurs ont la " mémoire courte " et qu'ils peuvent changer d'avis jusqu'au dernier moment. Les derniers jours seront donc un vrai " feu d'artifice ".
Toutes les dernières campagnes du Parti Républicain reposent sur ces fondamentaux :
* primaires républicaines pour la présidentielle 2000 : un exemple de "push polling" après la primaire du New Hampshire gagnée par McCain contre Bush : Rove lance un sondage sur McCain en demandant si " les électeurs voteraient pour McCain si celui-ci s'était rendu coupable de trahison durant sa guerre du Viet-Nam ". La question porte le message et insinue le doute sur son comportment. Bush ne faisait que reprendre la technique mise en oeuvre pour gagner le Texas quand par exemple il avait lancé un sondage qui, parmi les questions, comportait la question suivante " voteriez-vous toujours pour Ann Richards pour le poste de Gouverneur du Texas en sachant que son équipe est entièrement composée de lesbiennes ? ".
* présidentielle 2004 : Kerry domine dans les sondages. Bien que titulaire des décorations militaires les plus prestigieuses attribuées après des enquêtes minutieuses, John Kerry fait l'objet d'une campagne mettant en cause la réalité de son engagement pendant la guerre du Viet-Nam.
Rove aurait monté de toutes pièces à l'aide de militants républicains rémunérés des déclarations fabriquées visant à attaquer Kerry sur sa qualité principale : son engagement pendant la guerre du Viet-Nam.
Il s'en est suivi un matraquage de communication notamment par des campagnes web qui ont conduit à jeter le doute pendant un moment et conduire Kerry à mobiliser toute son énergie pour se justifier sur un point inconcevable en début de campagne. Il ne tournera la page que lorsque la chute de Kerry dans les sondages avait été amorcée.
Ces fondamentaux ont un seul objectif : construire un vote contre. La mécanique républicaine est partie. Son entreprise de démolition est en marche. C'est l'esprit de la vidéo diffusée hier via Internet :
http://www.youtube.com/watch?v=_nVQaHpO ... w-bush.htm
sinon McCain passe de nouveaux en tête dans le missouri.
Obama 44%
McCain 49%
dans les grand électeurs du missouri ils seront 11.
et la majorité serais avec McCain
a la limite perdre dans la misouri serais pas grave!
alors Obama doit remporté l' Indiana ou il est toujours en tête dans le vote populaire
et il serais aussi dans en tête dans les grand électeurs.
et ils ont 11 aussi
si il perd les 11 grand électeurs du missouri il peux revenir avec les 11 grand électeurs de l'indiana
Obama 44%
McCain 49%
dans les grand électeurs du missouri ils seront 11.
et la majorité serais avec McCain
a la limite perdre dans la misouri serais pas grave!
alors Obama doit remporté l' Indiana ou il est toujours en tête dans le vote populaire
et il serais aussi dans en tête dans les grand électeurs.
et ils ont 11 aussi
si il perd les 11 grand électeurs du missouri il peux revenir avec les 11 grand électeurs de l'indiana
Les sondages accordent au candidat démocrate Barack Obama 46% des intentions de vote, contre 43% à son rival républicain John McCain,
La marge est minuscule. D'autant qu'il faut appliquer à ce score une "théorie de la realité électorale américaine" qui est la suivante.
-En 1988, au même stade de la course à la Maison Blanche, le candidat démocrate Michael Dukakis possédait 17% d'avance sur son adversaire républicain d'alors, George H. Bush, qui a fini par l'emporter.
-Le même scénario s'est reproduit en 2004 avec John Kerry, alors doté d'une bonne longueur d'avance contre George W. Bush, qui comme chacun le sait a gagné l'élection.
La marge est minuscule. D'autant qu'il faut appliquer à ce score une "théorie de la realité électorale américaine" qui est la suivante.
-En 1988, au même stade de la course à la Maison Blanche, le candidat démocrate Michael Dukakis possédait 17% d'avance sur son adversaire républicain d'alors, George H. Bush, qui a fini par l'emporter.
-Le même scénario s'est reproduit en 2004 avec John Kerry, alors doté d'une bonne longueur d'avance contre George W. Bush, qui comme chacun le sait a gagné l'élection.
plus de 26 % font un lien entre Obama et l'islam. 12 % considèrent même que l'islam serait "sa religion actuelle",
* il n'a pas encore acquis un profil sécurisant. Il a l'avantage du changement mais peut-être trop de changement ?
Ces deux données vont avoir un impact déterminant dans la dernière ligne droite.
Trois étapes majeures vont désormais intervenir :
* les conventions (fin août et début septembre),
* les débats au nombre de trois entre les deux candidats,
* le dernier sprint.
Tout est encore totalement ouvert.
* il n'a pas encore acquis un profil sécurisant. Il a l'avantage du changement mais peut-être trop de changement ?
Ces deux données vont avoir un impact déterminant dans la dernière ligne droite.
Trois étapes majeures vont désormais intervenir :
* les conventions (fin août et début septembre),
* les débats au nombre de trois entre les deux candidats,
* le dernier sprint.
Tout est encore totalement ouvert.
Floride-Michigan : Obama change d'avis pour la convention
Les règles du parti démocrate étaient strictes : seuls les quelques Etats qui avaient reçu le feu vert des instances nationales pouvaient organiser leurs primaires en janvier. Pour avoir passé outre, le Michigan et la Floride avaient été punis.
Dans un premier temps, ils s'étaient vus retirer tous leurs délégués à la convention chargée de désigner officiellement le représentant du parti et les candidats avaient convenu de ne pas y faire campagne. Mais les scrutins avaient finalement eu lieu. Faute de vraie concurrence -Barack Obama n'avait notamment pas déposés de bulletin à son nom dans le Michigan-, Hillary Clinton s'était imposée facilement dans les deux Etats.
"Unis dans notre détermination"
S'en était suivie une vive polémique entre les deux rivaux du parti de l'âne : distancée par son rival, Hillary Clinton réclamait à cor et à cri la réintégration totale des deux Etats dans le décompte des délégués nécessaires pour obtenir l'investiture. Sans surprise, Barack Obama s'y opposait avec la même vigueur. Finalement, juste avant les dernières primaires de début juin, la sanction avait été adoucie pour que les délégués de Michigan et de Floride obtiennent un demi-vote à la convention de Denver. Une décision qui garantissait ainsi au sénateur de l'Illinois de devenir le candidat démocrate.
Dans un souci d'unité du parti, Barack Obama a donc changé d'avis. Il souhaite en effet désormais que les délégués de Floride et du Michigan soient pleinement rétablis dans leur droit de voter. "Alors que nous nous préparons à nous retrouver à Denver, nous devons être unis dans notre détermination de changer le cours des choses dans notre pays", écrit-il dans une lettre. Son objectif est clair : amadouer les responsables démocrates des deux Etats, qui seront vitaux pour s'imposer face à John McCain.
Décision le 24 août
Hillary Clinton, éliminée de la course quel que soit le nombre de délégués de Michigan et de Floride qui siégeront à Denver, s'est félicitée de cette requête. "Le parti démocrate a toujours plaidé pour le principe de compter le vote de chaque personne. C'est la bonne position pour le parti démocrate et pour le pays et j'exhorte le comité électoral à restaurer les pleins droits de vote des délégués de Floride et du Michigan", souligne-t-elle.
Le comité électoral du parti prendra sa décision le 24 août, la veille du début de la convention. Reste à savoir si, entre-temps, John McCain n'aura pas utilisé le revirement de son adversaire pour le taxer d'opportunisme.
Les règles du parti démocrate étaient strictes : seuls les quelques Etats qui avaient reçu le feu vert des instances nationales pouvaient organiser leurs primaires en janvier. Pour avoir passé outre, le Michigan et la Floride avaient été punis.
Dans un premier temps, ils s'étaient vus retirer tous leurs délégués à la convention chargée de désigner officiellement le représentant du parti et les candidats avaient convenu de ne pas y faire campagne. Mais les scrutins avaient finalement eu lieu. Faute de vraie concurrence -Barack Obama n'avait notamment pas déposés de bulletin à son nom dans le Michigan-, Hillary Clinton s'était imposée facilement dans les deux Etats.
"Unis dans notre détermination"
S'en était suivie une vive polémique entre les deux rivaux du parti de l'âne : distancée par son rival, Hillary Clinton réclamait à cor et à cri la réintégration totale des deux Etats dans le décompte des délégués nécessaires pour obtenir l'investiture. Sans surprise, Barack Obama s'y opposait avec la même vigueur. Finalement, juste avant les dernières primaires de début juin, la sanction avait été adoucie pour que les délégués de Michigan et de Floride obtiennent un demi-vote à la convention de Denver. Une décision qui garantissait ainsi au sénateur de l'Illinois de devenir le candidat démocrate.
Dans un souci d'unité du parti, Barack Obama a donc changé d'avis. Il souhaite en effet désormais que les délégués de Floride et du Michigan soient pleinement rétablis dans leur droit de voter. "Alors que nous nous préparons à nous retrouver à Denver, nous devons être unis dans notre détermination de changer le cours des choses dans notre pays", écrit-il dans une lettre. Son objectif est clair : amadouer les responsables démocrates des deux Etats, qui seront vitaux pour s'imposer face à John McCain.
Décision le 24 août
Hillary Clinton, éliminée de la course quel que soit le nombre de délégués de Michigan et de Floride qui siégeront à Denver, s'est félicitée de cette requête. "Le parti démocrate a toujours plaidé pour le principe de compter le vote de chaque personne. C'est la bonne position pour le parti démocrate et pour le pays et j'exhorte le comité électoral à restaurer les pleins droits de vote des délégués de Floride et du Michigan", souligne-t-elle.
Le comité électoral du parti prendra sa décision le 24 août, la veille du début de la convention. Reste à savoir si, entre-temps, John McCain n'aura pas utilisé le revirement de son adversaire pour le taxer d'opportunisme.
et voila ce qui étais prévu est arriver
Obama n'est plus en tête
[ image externe ] 44%
[ image externe ] 44%
de plus ont connais peux être le vice président de John McCain ca serais peut être Joe Liberman.
ancien democrate qui avec fait ticket avec Al Gore!
devenu candidat indépendant.
ca veux dire qu'il va apporté des électeurs démocrate a McCain + les électeurs indépendants.
d'ou le titre John McCain pourrait choisir le grand rassemblement
John McCain paraît évoluer vers le choix de Joe Liberman, ancien co-listier d'Al Gore en 2000 qui traduirait la volonté d'un "grand rassemblement" au-delà des clivages traditionnels.
Obama n'est plus en tête
[ image externe ] 44%
[ image externe ] 44%
de plus ont connais peux être le vice président de John McCain ca serais peut être Joe Liberman.
ancien democrate qui avec fait ticket avec Al Gore!
devenu candidat indépendant.
ca veux dire qu'il va apporté des électeurs démocrate a McCain + les électeurs indépendants.
d'ou le titre John McCain pourrait choisir le grand rassemblement
John McCain paraît évoluer vers le choix de Joe Liberman, ancien co-listier d'Al Gore en 2000 qui traduirait la volonté d'un "grand rassemblement" au-delà des clivages traditionnels.
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