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A 6 minutes 59 secondes, je vois une sorte d'image "subliminale" (pour les puristes, je sais, elle n'est pas subliminale puisque je l'ai vue ) d'Hillary. Je décide de revenir en arrière pour voir ce que c'est... Une magnifique photo d'Hillary avec sa poitrine gonflée à la Pamela Anderson !
Charlie Black, stratège principal de John McCain, a confié au magazine Fortune qu’un attentat terroriste aux États-Unis serait un «gros avantage» pour le sénateur de l’Arizona.
Barack Obama et Hillary Clinton vont faire campagne ensemble à la fin de la semaine dans le New Hampshire. Ce meetings'inscrit dans la stratégie du camp Obama qui vise à convaincre les supporters d'Hillary Clinton à soutenir le sénateur de l'Illinois. Au terme de la longue campagne électorale pour les primaires démocrates, la tâche ne semble pas aisée. Barack obama ne bénéficie pas d'une large avance sur John McCain dans les sondages et plusieurs groupes conservateurs attaquent déjà Obama comme ils l'ont fait il y a quatre ans avec John Kerry. Un expemple: le site www.exposeobama.com. Floyd Brown, l'homme qui a conçu le site est un vétéran des campagnes anti-démocrates. Il vient de produire un petit film qui circule actuellement sur Youtub et donne le ton de la campagne à venir entre le républicain John McCain et Barack Obama.
Le fait qu’un des principaux conseillers de John McCain estime qu’un attentat terroriste sur le territoire américain serait un ‘grand avantage’ pour leur campagne est une honte absolue, et exactement le genre de politique qui doit être changée», a déclaré Bill Burton, le porte-parole de Barack Obama, en faisant allusion aux propos de Charlie Black, stratège principal du candidat républicain.
Voulant sans doute donner une image présidentielle au candidat démocrate, l’équipe de Barack Obama a accroché le sceau ci-dessus sur son podium lors d’un discours à Chicago vendredi dernier. On pouvait lire au-dessus de l’aigle l’inscription latine Vero Possumus que l’on peut traduire par «Oui, nous le pouvons». Ridicule et arrogant, ont dit les républicains et plusieurs commentateurs.
le camp Obama a confirmé hier qu’on ne reverra plus ce sceau…
intéressant pour Obama Des grands prêtres du conservatisme américain séduits par Obama
On les appelle les "Obamacains", ces conservateurs qui se détournent du parti républicain pour embrasser la politique du changement que promet le démocrate Barack Obama s'il conquiert la Maison-Blanche en novembre.
Parmi eux, on trouve notamment une nouvelle génération de chrétiens évangéliques, plus sensibles à ce que dit la Bible sur la pauvreté que sur les mœurs, et des gestionnaires inquiets de la dérive des déficits publics.
"La coalition de Bush est en train de se dissoudre", explique le sondeur John Zogby à l'AFP. "Nous avons des enquêtes révélant qu'un conservateur sur cinq soutient Obama".
Parmi ceux que convertit Obama, on retrouve des intellectuels ayant longtemps inspiré la philosophie dominante chez les républicains - comme le philosophe Francis Fukuyama, le professeur de relations internationales Andrew Bacevich ou l'éditorialiste libertaire Andrew Sullivan, qui tous affichent aujourd'hui un profond rejet de la guerre en Irak.
M. Fukuyama, qui a théorisé la fin de la guerre froide dans son essai de 1992 "La fin de l'histoire", estimait lors d'une visite à Sydney le mois dernier que les républicains étaient à bout de souffle intellectuellement.
Beaucoup de gens de droite estiment qu'"Obama représente probablement la plus grande promesse d'arriver à apporter une nouvelle politique", en rupture avec des décennies d'orthodoxie républicaine, a-t-il dit à la chaîne Australian Broadcasting Corporation (ABC).
M. Bacevich, qui enseigne à Boston University, fait valoir qu'après huit ans de présidence Bush, les républicains ont besoin d'une défaite en novembre pour réinventer leur programme. "Pour les conservateurs, Obama représente une lueur d'espoir, McCain aucune. Le choix s'avère facile", a-t-il écrit dans la revue The American Conservative.
Parmi les conservateurs américains, un fort courant libertaire a été détourné du parti républicain par les méthodes policières de la "guerre contre le terrorisme" engagée par l'administration Bush à la suite des attentats du 11-Septembre, et par le creusement du déficit budgétaire.
Certains "néo-conservateurs", qui ont commencé leur parcours idéologique avant de dériver vers la droite à la recherche d'une politique étrangère plus musclée fondée sur la propagation des valeurs américaines, commencent à leur tour à déserter le parti républicain.
Or si le parti républicain finit par ne plus être le parti des idées - comme il l'a longtemps été, ainsi que l'avait reconnu Barack Obama en janvier dans des remarques qui lui ont amèrement été reprochées à gauche - cela pourrait finir par être dangereux pour John McCain, qui a déjà du mal à séduire la base la plus traditionnelle de la droite.
M. Obama a plusieurs fois annoncé son intention de tendre la main aux chrétiens évangéliques, en faisant écho à l'intérêt désormais affiché par cette communauté pour l'écologie et la justice sociale. Il vise à créer une nouvelle majorité rassemblant "des Américains de tous les partis, de toutes origines, de toutes races, de toutes religions".
Et le contexte lui semble favorable. "La vieille devise 'Dieu, les armes à feu et les gonades' ne suffit plus à définir les jeune chrétiens conservateurs -non pas qu'ils basculent à gauche, mais ils sont moins unidimensionnels", estime M. Zogby.
Le commentateur Andrew Sullivan, un Britannique catholique homosexuel se disant volontiers de droite, pourrait incarner à lui tout seul la synthèse à laquelle aspire M. Obama.
"Nous (les Etats-Unis) sommes en guerre sur la guerre- et sur la culture, et sur la religion, et sur les relations entre les races. Et dans cette guerre Obama -et seul Obama- offre la possibilité d'une trêve", écrivait Andrew Sullivan en décembre, avant même que Barack Obama ne gagne la première de ses victoires électorales.
je l'est commandé mercredi !
et il est arriver se matin du rapide depuis les usa lol
il est super ! merci ebay sans quoi je pourrais pas faire mon bonheur sur les usa lol
Après Newsweek, c’est au tour du Los Angeles Times de publier un sondage donnant à Barack Obama une avance de plus de dix points sur John McCain. Si l’élection présidentielle avait lieu aujourd’hui, le démocrate récolterait 49% des voix contre 37%
de plus ca se confirme que la floride devrait changer de camp
Obama a 16 points de plus sur McCain!