Merci à tous pour vos commentaires et vos encouragements !
Tweethy, pas vraiment une migraine... Je dirais un bon gros mal de crâne lié au stress et à la fatigue (quand j'ai une migraine, je peux à peine marcher).
Mais merci du tuyau pour le médoc !
Pearly, entre les Brésiliennes, les Espagnoles, les Canadiennes, les Sud-Américaines, les Anglaises, les Australiennes, les Allemandes... Je me demandais si cette auberge était connue des francophones... M'enfin, je ne me suis pas plainte hein, bien au contraire...
Contrairement à ma copine restée à Lyon
Je continue donc avec les détails (ceux dont je me souviens au moins), vous l'aurez voulu...
JOUR 2 - Samedi
Réveillée 4h30, je profite de la chaleur de la couette jusqu'au premières lueurs du jour une heure plus tard. De mon lit, entre deux rideaux, je ne peux m'empêcher de regarder le jour se lever (même vue que de la terrasse puisque celle-ci se situe juste en dessous).
Je descends enfin prendre le p’tit dej : bol de lait avec des Cheerios (que je trouve de premier abord fadasse mais deviendrais vite accro) et je vais me poser sur la terrasse pour profiter du lever de soleil sur Manhattan
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Je crois avoir encore du mal à réaliser… En fait, je pense l’avoir fait une fois rentrée.
Bref, je me prépare, le sac avec les appareils photos et enfile la doudoune. J’ai peur d’avoir un peu froid puisqu’il n’est que 6h30. Erreur.
Arrivée dehors, je décide de découvrir un peu le quartier et c’est le bout de ma rue qui m’attire (N 6Th St). Allez savoir pourquoi… L’eau qui scintille sans doute…
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Après avoir buggé devant cette vue et l’avoir mitraillée, je me remets en route et découvre les alentours. Ce n’est pas tout beau, ce n’est pas tout propre mais c’est NY telle que je me l’imaginais, ses briques, ses graffes, ses escaliers…
Mis à part quelques maîtres et leurs toutous pour leur balade matinale, je ne croise pas encore grand monde.
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8h. Il est temps d’entamer le planning de la journée. Direction la station de métro à deux pas de l’appart (Bedford Av.). Ma première station de métro !
Moui… entre le SDF qui dort à l’entrée, les vielles marches jonchées de papiers gras et journaux et un souffle ultra chaud qui apporte des odeurs non identifiables. Pas très engageant j’avoue… Mais après tout, je voyage seule depuis mes 14 ans, ce n’est pas ça qui va me stopper ! Allez, je fonce, je m’élance et dévale les marches, ma main déjà plongée dans ma poche prête à dégainer les 30 dollars pour la Metrocard…
Un panneau. Station et ligne (L) fermées durant le week-end de Thanksgiving..
Ok. Bon. Ce n’est pas la fin du monde. Je fais appel à ma zen attitude et armée de mon carnet Moleskine NY, je descends Bed…
Permettez-moi, cette parenthèse (je risque d’oublier sinon). Le Moleskine. Je le recommande vivement à tous les amoureux des carnets pratiques et bien fichus : 24 pages de plans détaillés, carte métro, index des noms de rues, infos pratiques (mesures, conversion, tailles…), post-it transparents (à coller sur les cartes) sur lesquels on peut retranscrire son itinéraire ou des notes, des pages vierges pour ses gribouillis, des onglets thématiques ou à personnaliser et une pochette où l’on peut glisser papiers, tickets, cartes... Et tout ceci se ferme à l’aide d’un élastique afin de ne rien perdre et grâce à son petit format, il se glisse facilement à l’arrière d’une poche de jean. Alors, on garde les guides trop lourds pour le soir à l’auberge et on dit adieu au mal de dos (LE grand absent de mon séjour, yes !)… Bref, ce carnet est devenu mon poto de voyage !
Donc… Armée de mon Moleskine et ses merveilleux plans, je descends Bedford avenue pour rejoindre la station Marcy Av. Hop, la Metrocard, je chope une rame.
Cette fermeture de station a finalement été bénéfique car pour mon premier trajet je traverse l’East River via Williamsburg Bridge. Je reste donc le nez collé à la vitre à regarder le soleil se refléter sur tous ces buildings. Un changement à Broadway/Lafayette et je descends à Wall Street station. Aujourd’hui, je vais arpenter la pointe Sud de l’île.
La suite, très bientôt