Descente de l'avion
Modérateurs : patricia, Didier, photos
Salut,
je prends l'avion pour mon travail en moyenne une fois par semaine. Même si ce sont pour la plupart des vols intérieurs, il y a quand même à chaque fois au moins 1 décollage et 1 atterrisage. Et c'est mon rythme depuis 2003. Je n'ai aucun problème d'oreilles. Tu vois, rien d'inquiétant. Bien sûr elles sont parfois bouchées, mais en baillant ça disparait. Le tout et le plus important, c'est de se forcer à bailler souvent au décollage ou à l'atterrisage, même si tu n'as pas l'impression de les avoir bouchées. Et tu te rendras compte qu'elles l'étaient. Les problèmes peuvent arriver si elles restent bouchées trop longtemps. Tu sais, si tous les gens qui prennent l'avion fréquemment étaient sourds ça se saurait. Le phénomène provient tout simplement du système de pressurisation de la cabine qui permet au pilote de compenser la pression atmosphérique à l'extérieur en fonction de l'altitude. Le décollage et l'atterrissage sont bien sur les phases principales de régulation de cette pression.
je prends l'avion pour mon travail en moyenne une fois par semaine. Même si ce sont pour la plupart des vols intérieurs, il y a quand même à chaque fois au moins 1 décollage et 1 atterrisage. Et c'est mon rythme depuis 2003. Je n'ai aucun problème d'oreilles. Tu vois, rien d'inquiétant. Bien sûr elles sont parfois bouchées, mais en baillant ça disparait. Le tout et le plus important, c'est de se forcer à bailler souvent au décollage ou à l'atterrisage, même si tu n'as pas l'impression de les avoir bouchées. Et tu te rendras compte qu'elles l'étaient. Les problèmes peuvent arriver si elles restent bouchées trop longtemps. Tu sais, si tous les gens qui prennent l'avion fréquemment étaient sourds ça se saurait. Le phénomène provient tout simplement du système de pressurisation de la cabine qui permet au pilote de compenser la pression atmosphérique à l'extérieur en fonction de l'altitude. Le décollage et l'atterrissage sont bien sur les phases principales de régulation de cette pression.
J'ai passé 1 seul atterrissage ou j'ia eut vraiment mal aux oreilles et tous les autres (environ une 30aine je dirai) je n'ai quasiment rien senti. Quand je sens qu'elles commencent a se boucher, je me pince le nez et je souffle par ce dernier, ca me les debouche, et tout se passe bien.
Mais il y a eut cette fois ou ca me faisait vraiment mal que je criait un peu mais pas trop pour pas affoler les gens. Le mal d'oreille existe vraiment, chacun le vie différent, chacun a une sensibilité differente.
Lexierock, essais de ne pas trop y penser, meme si c'est important, mais c'est rien en comparaison avec tout ce dont tu as a penser en allant a NY !
Bon courage!
Mais il y a eut cette fois ou ca me faisait vraiment mal que je criait un peu mais pas trop pour pas affoler les gens. Le mal d'oreille existe vraiment, chacun le vie différent, chacun a une sensibilité differente.
Lexierock, essais de ne pas trop y penser, meme si c'est important, mais c'est rien en comparaison avec tout ce dont tu as a penser en allant a NY !
Bon courage!
-
- Messages : 86
- Inscription : 20 juil. 2007, 13:34
Vous pouvez toujours demander aux hôtesses des "oreilles de Mickey" (c'est comme ça qu'elles les appellent lol) c'est à dire 2 gobelets en plastiques remplis de serviettes humidifiées d'eau chaude.
C'est assez efficace, la vapeur et la chaleur calment les tympans douloureux et permet à la pression de se rétablir pendant la descente.
C'est assez efficace, la vapeur et la chaleur calment les tympans douloureux et permet à la pression de se rétablir pendant la descente.
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message