métro boulot dodo
Publié : 07 mars 2007, 02:59
me voila depuis plus d'un mois à New York. un mois déjà que je suis tombée raide dingue amoureuse de cette ville, un mois que j'appréhende mon retour en France, un mois que je profite de cette vie magnifique.
il m'aura fallu une semaine pour arriver à saisir l'accent américain, j'attend encore le déclic de la langue, mais d'apres mes calculs, il me reste encore 3 semaines pour enfin oser parler.
un mois que je vais aussi d'hotel en hotel, de visite d'appart géniaux mais loin de mon lieu de travail en appart pourris dans de superbe quartier.
un mois que tout les midi je me dis que je suis à New York et que je n'arrive pas à trouver ce que je veux à manger.
un mois que ma carte de crédit souffre, et oui, travailler à coté de century 21 n'aide pas à faire des économies.
un mois que je passe mon temps à acheter des chaussettes pour la simple et bonne raison que c'est le seul rayon du magasin nommé ci dessus qui est corectement rangé et qui me donne l'envie de chercher; deplus je suis imcapable de résister au paire de chaussette de marque à des prix défiant toute concurrence.
un mois que je me lève le matin, que je prend le métro que je vais au boulot et puis dodo. comment aurais je pu croire qu'un jour j'aurai pu avoir ce rythme non pas en france mais à New York City.
un mois que mon appareil photo ne me lache plus, à part quand je le perd (environ 3 fois par semaine) pour pouvoir saisir chaque instant de se bref passage de ma vie.
un mois que je vis dans un rêve; new york est une vrai bulle, je n'ai jamais ressenti une si grande paix que depuis que je suis arrivé, comme si les problèmes ne pouvaient franchir la skyline que forme ses si impressionant building.
un mois que j'ai quitté parents, famille et mes amis. meme si j'ai eu des coup de blues au moment ou je savais qu'ils se rencontraient sans moi en France; je n'ai pas le sentiment d'etre seule. encore ce soir apres une séance shopping je me suis arretée pour boire un café et savourer le spectacle que donne New York tout les soir.
un mois que je me sens privilégiée, à 21 ans je croque la grande pomme sans rien devoir à personne.
les jours et les semaines n'existent plus, comment une ville peut elle etre autant réelle et à la fois impalpable?
comment fait elle pour que des milliers de personnes lachent tout pour la rejoindre?
comment fait elle pour combler quelqu'un d'aussi insatisfaite que moi?
les jours passent, demain je vais me lever, prendre le métro, passé la journée au boulot, rentrer et faire dodo mais à New York; quand arriverai je à réaliser???
il m'aura fallu une semaine pour arriver à saisir l'accent américain, j'attend encore le déclic de la langue, mais d'apres mes calculs, il me reste encore 3 semaines pour enfin oser parler.
un mois que je vais aussi d'hotel en hotel, de visite d'appart géniaux mais loin de mon lieu de travail en appart pourris dans de superbe quartier.
un mois que tout les midi je me dis que je suis à New York et que je n'arrive pas à trouver ce que je veux à manger.
un mois que ma carte de crédit souffre, et oui, travailler à coté de century 21 n'aide pas à faire des économies.
un mois que je passe mon temps à acheter des chaussettes pour la simple et bonne raison que c'est le seul rayon du magasin nommé ci dessus qui est corectement rangé et qui me donne l'envie de chercher; deplus je suis imcapable de résister au paire de chaussette de marque à des prix défiant toute concurrence.
un mois que je me lève le matin, que je prend le métro que je vais au boulot et puis dodo. comment aurais je pu croire qu'un jour j'aurai pu avoir ce rythme non pas en france mais à New York City.
un mois que mon appareil photo ne me lache plus, à part quand je le perd (environ 3 fois par semaine) pour pouvoir saisir chaque instant de se bref passage de ma vie.
un mois que je vis dans un rêve; new york est une vrai bulle, je n'ai jamais ressenti une si grande paix que depuis que je suis arrivé, comme si les problèmes ne pouvaient franchir la skyline que forme ses si impressionant building.
un mois que j'ai quitté parents, famille et mes amis. meme si j'ai eu des coup de blues au moment ou je savais qu'ils se rencontraient sans moi en France; je n'ai pas le sentiment d'etre seule. encore ce soir apres une séance shopping je me suis arretée pour boire un café et savourer le spectacle que donne New York tout les soir.
un mois que je me sens privilégiée, à 21 ans je croque la grande pomme sans rien devoir à personne.
les jours et les semaines n'existent plus, comment une ville peut elle etre autant réelle et à la fois impalpable?
comment fait elle pour que des milliers de personnes lachent tout pour la rejoindre?
comment fait elle pour combler quelqu'un d'aussi insatisfaite que moi?
les jours passent, demain je vais me lever, prendre le métro, passé la journée au boulot, rentrer et faire dodo mais à New York; quand arriverai je à réaliser???