le retour de clinton?
depuis que les primaires sont finie Obama s'en prend plient la figure.
Obama a été obliger de faire un nouveaux site contre les rumeurs.
la derniere rumeur ?
Barack Obama finalement privé de candidature présidentielle ...
Barack Obama serait finalement privé de candidature présidentielle car né au Kenya ce qui lui interdirait juridiquement de postuler : voilà un exemple de l'une des dernières rumeurs faisant partie d'une campagne de démolition sans précédent.
autre rumeurs ?
sont prénom c'est pas Barack mais barry , et sont autre prénom n'est pas hussein mais muhumed
Obama a publié sont acte de naissance pour prouvé
oui Obama est bien né a Hawaïï ses prénom sont bien barack hussein.
sont beau père la élevée dans la réligion islamique pur et dur
non Obama a été dans une école de toute religion et a suivi la religion catholique
en flordie des gens disent Obama ?? il seras une taupe de ben laden a la maison blanche!
en géorgie ! obama est noir islamique il va détruire. notre pays par des attentas
sur fox new une journaliste a été viré
pour avoir dit barack et michelle obama ont fait un geste de terroriste
[ image externe ]
vous s'avez un geste que les golfeur , basketeurs font quand ils gagne.
elle a meme évoquer aussi sont futur meutre!
Obama essaye de prouvé que tout esy faux!
mais mccain en 2000 , al gore en 2000 kerry en 2004 ont essayer de faire taire les rumeurs! ca ses retourné contre eux
Candidats à l'investiture présidentielle américaine
Modérateurs : patricia, Didier, photos
Ces conservateurs noirs qui envisagent de voter Obama
Barack Obama a réveillé des émotions contradictoires chez les Républicains noirs: nombre d'entre eux sont profondément heureux qu'un des leurs soit en position, pour la première fois de l'histoire, de devenir président des Etats-Unis. Mais sauter le pas et voter pour un homme loin de leurs positions idéologiques n'est pas si simple.
Armstrong Williams, animateur de talk show noir et conservateur, n'a jamais voté démocrate. Mais cette année, il se tâte sérieusement: "je n'aime pas franchement sa politique, je n'aime pas beaucoup ce qu'il prône. Mais pour la première fois de ma vie, l'histoire me pousse à y réfléchir sérieusement. En toute honnêteté, je ne sais pas ce que je vais faire en novembre. Et rien que ça, pour moi, c'est incroyable".
Et d'ajouter que dans le très restreint milieu des conservateurs noirs, ses collègues lui glissent, "en privé", que "ça serait très dur de voter contre lui en novembre".
Sans doute sensible à cela, le candidat républicain John McCain fait des efforts en direction de l'électorat noir: il a annoncé qu'il assisterait au congrès annuel de la NAACP (National Association for the Advancement of Colored People, principal mouvement de défense des droits civiques). Et a rappelé qu'il s'était rendu à Selma, Alabama, cet Etat du Sud au coeur du mouvement d'émancipation des noirs dans les années 60: il y a évoqué la "nécessité de ne pas laisser sur le bord de la route les Américains 'oubliés'".
Traditionnellement, la part des électeurs noirs votant républicain est extrêmement marginale: en 2004, ils avaient choisi le démocrate John Kerry à 88%, contre 11% votant George W. Bush.
Ancien élu de l'Oklahoma, J.C. Watts, lui, envisage sérieusement de voter Obama. S'il s'affirme toujours républicain de coeur, il reproche à son parti d'avoir négligé la communauté noire, à la différence du parti démocrate.
"Et Obama encore plus", ajoute Watts, qui s'attend à ce que le sénateur de l'Illinois monte au créneau sur des sujets sensibles, la pauvreté et la politique d'urbanisme.
L'acteur-écrivain Joseph C. Phillips, lui, est tellement séduit par le jeune sénateur qu'il s'est même inventé un qualificatif: il est "obamacain", soit républicain pro-Obama.
"Je me demande si nous ne sommes pas arrivés au grand tournant, où une victoire d'Obama nous ferait enfin, après tout ce temps, surmonter ces vieilles discussions sur la race. Et si ce grand pays ne pourrait pas enfin être pardonné pour son pêché originel ou trouver une forme d'absolution".
Mais Phillips, pas encore bien décidé, reconnaît ses propres contradictions et l'ironie d'un point de vue qui le pousserait à voter pour un candidat pour son appartenance raciale afin de dépasser la question de la race... "Nous devons le juger pas sur la race, mais sur sa désirabilité comme candidat politique. Et sur cette base-là, je suis en désaccord avec lui sur un grand nombre de sujets. J'hésite, j'hésite..."
Quant à Michael Steele, ancien vice-gouverneur du Maryland, il se dit fier d'Obama en tant que noir, mais "en novembre, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour qu'il soit battu". Car pour lui, l'élection du sénateur de l'Illinois ne réglera pas comme par magie tous les malheurs de la communauté afro-américaine.
Quant au républicain modéré Edward Brooke, qui fut en 1966 le premier noir élu sénateur dans le Massachusetts, il se dit "extrêmement fier et joyeux" du parcours de Barack Obama. Ce dernier lui a offert son livre avec en dédicace "merci d'avoir montré le chemin".
Brooke refuse de dire qui il soutiendra, mais le facteur racial ne sera pas un élément de son choix: "c'est la plus importante élection de notre histoire. Et, vu le monde et l'état dans lequel il est, nous devons prendre le meilleur".
Un avis partagé par le général en retraite et ancien secrétaire d'Etat Colin Powell, qui fut le premier noir à devenir chef de la diplomatie américaine: il votera pour le "plus qualifié", quel que soit son parti.
En tous cas, explique Williams le commentateur politique, sa vieille maman de 82 ans, qui n'a non plus jamais voté pour un candidat démocrate, a elle déjà fait son choix: "elle est si fière du sénateur Obama, qu'elle nous a déjà annoncé qu'elle voterait pour lui. Elle dit qu'au vu de l'histoire de ce pays, elle n'aurait jamais cru pouvoir vivre assez longtemps pour voir ce moment".
Barack Obama a réveillé des émotions contradictoires chez les Républicains noirs: nombre d'entre eux sont profondément heureux qu'un des leurs soit en position, pour la première fois de l'histoire, de devenir président des Etats-Unis. Mais sauter le pas et voter pour un homme loin de leurs positions idéologiques n'est pas si simple.
Armstrong Williams, animateur de talk show noir et conservateur, n'a jamais voté démocrate. Mais cette année, il se tâte sérieusement: "je n'aime pas franchement sa politique, je n'aime pas beaucoup ce qu'il prône. Mais pour la première fois de ma vie, l'histoire me pousse à y réfléchir sérieusement. En toute honnêteté, je ne sais pas ce que je vais faire en novembre. Et rien que ça, pour moi, c'est incroyable".
Et d'ajouter que dans le très restreint milieu des conservateurs noirs, ses collègues lui glissent, "en privé", que "ça serait très dur de voter contre lui en novembre".
Sans doute sensible à cela, le candidat républicain John McCain fait des efforts en direction de l'électorat noir: il a annoncé qu'il assisterait au congrès annuel de la NAACP (National Association for the Advancement of Colored People, principal mouvement de défense des droits civiques). Et a rappelé qu'il s'était rendu à Selma, Alabama, cet Etat du Sud au coeur du mouvement d'émancipation des noirs dans les années 60: il y a évoqué la "nécessité de ne pas laisser sur le bord de la route les Américains 'oubliés'".
Traditionnellement, la part des électeurs noirs votant républicain est extrêmement marginale: en 2004, ils avaient choisi le démocrate John Kerry à 88%, contre 11% votant George W. Bush.
Ancien élu de l'Oklahoma, J.C. Watts, lui, envisage sérieusement de voter Obama. S'il s'affirme toujours républicain de coeur, il reproche à son parti d'avoir négligé la communauté noire, à la différence du parti démocrate.
"Et Obama encore plus", ajoute Watts, qui s'attend à ce que le sénateur de l'Illinois monte au créneau sur des sujets sensibles, la pauvreté et la politique d'urbanisme.
L'acteur-écrivain Joseph C. Phillips, lui, est tellement séduit par le jeune sénateur qu'il s'est même inventé un qualificatif: il est "obamacain", soit républicain pro-Obama.
"Je me demande si nous ne sommes pas arrivés au grand tournant, où une victoire d'Obama nous ferait enfin, après tout ce temps, surmonter ces vieilles discussions sur la race. Et si ce grand pays ne pourrait pas enfin être pardonné pour son pêché originel ou trouver une forme d'absolution".
Mais Phillips, pas encore bien décidé, reconnaît ses propres contradictions et l'ironie d'un point de vue qui le pousserait à voter pour un candidat pour son appartenance raciale afin de dépasser la question de la race... "Nous devons le juger pas sur la race, mais sur sa désirabilité comme candidat politique. Et sur cette base-là, je suis en désaccord avec lui sur un grand nombre de sujets. J'hésite, j'hésite..."
Quant à Michael Steele, ancien vice-gouverneur du Maryland, il se dit fier d'Obama en tant que noir, mais "en novembre, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour qu'il soit battu". Car pour lui, l'élection du sénateur de l'Illinois ne réglera pas comme par magie tous les malheurs de la communauté afro-américaine.
Quant au républicain modéré Edward Brooke, qui fut en 1966 le premier noir élu sénateur dans le Massachusetts, il se dit "extrêmement fier et joyeux" du parcours de Barack Obama. Ce dernier lui a offert son livre avec en dédicace "merci d'avoir montré le chemin".
Brooke refuse de dire qui il soutiendra, mais le facteur racial ne sera pas un élément de son choix: "c'est la plus importante élection de notre histoire. Et, vu le monde et l'état dans lequel il est, nous devons prendre le meilleur".
Un avis partagé par le général en retraite et ancien secrétaire d'Etat Colin Powell, qui fut le premier noir à devenir chef de la diplomatie américaine: il votera pour le "plus qualifié", quel que soit son parti.
En tous cas, explique Williams le commentateur politique, sa vieille maman de 82 ans, qui n'a non plus jamais voté pour un candidat démocrate, a elle déjà fait son choix: "elle est si fière du sénateur Obama, qu'elle nous a déjà annoncé qu'elle voterait pour lui. Elle dit qu'au vu de l'histoire de ce pays, elle n'aurait jamais cru pouvoir vivre assez longtemps pour voir ce moment".
al gore vient enfin de donner sont soutien a Obama
a detroit dans le michigan
al gore : Dans quelques heures je vais monter sur scène à Detroit, au Michigan pour annoncer mon soutien à Barack Obama», a annoncé M. Gore. «Entre maintenant et le jour de l'élection (le 4 novembre), j'entends faire tout ce que je peux pour faire en sorte qu'il soit élu président des Etats-Unis
a detroit dans le michigan
al gore : Dans quelques heures je vais monter sur scène à Detroit, au Michigan pour annoncer mon soutien à Barack Obama», a annoncé M. Gore. «Entre maintenant et le jour de l'élection (le 4 novembre), j'entends faire tout ce que je peux pour faire en sorte qu'il soit élu président des Etats-Unis
Obama peut il être le futur président même si il perd la floride et l'ohio??hum BOF... ou alors il doit remporté les 3 N
la floride et l'ohio est capital pour un candidat !
si en Ohio Obama n'a qu'un point de retard sur McCain
en floride il peux déjà laisser tomber!
entre 10 a 20 points de retard sur McCain!
Kerry a perdu a cause de la floride et surtout l' Ohio.
Al Gore a perdu a cause de la floride!
que doit faire Obama pour être président même si il perd ses deux états?
la réponse ? gagner les 3 étatsN
LES 3 états N ??
Nevada
nouveau mexique
New Hampshire
3 états très important
si dans le nouveaux mexique ca semble bon pour l'instant pour Obama qui a 9 points sur McCain
si dans le New Hampshire ca semble bon pour l'instant pour Obama qui a 5 points sur McCain
dans le Nevada sa semble mal partit Obama a 6 points de retard sur McCain.
que doit faire Obama si il remporte les 2 états sur 3 ?
obliger de gagner le colorado , l'iowa
et essayer de remporter soit le misourri soit la virginie ou la géorgie! voir les 3 !
la encore une fois dans le colorado il a 6 points sur mccain
iowa il a 7 points sur mccain
missouri il a 1 point d'avance
en virginie il vient de passé devant McCain d'un point
mais en géorgie il a 10 points de retard .
maintenant il est aussi interdit a Obama de perdre le wisconsin , le new jersey , la pennsylvanie , le michigan , l'oregon et le michigan
celui qui pensais que le 4 novembre aurais été un raz de marée d'état bleu se trompe !
________________________________________________________
McCain laisse tombé l' Iowa un état pourtant rouge
si l'iowa est un état rouge et il presque perdu a McCain
d'ailleur il fait même plus campagne.
avec les inondations Obama a été dans l' iowa et n'a pas u peur de se salir les mains!
et il a été montré a qu'elle point Obama y est très populaire .
McCain a juste fait un petit discour pour dire qu'il était triste pour eux!
pourtant nié l'iowa est risquer pour le camp républicain
Obama l'a compris et y va souvent.
l'iowa fait naitre de nouveaux candidat aussi
Bill clinton et d'autre ont été président graçe a l'iowa!
Obama va peut être suivre le même chemin
l'iowa un état qu'obama doit beaucoup de choses et il le sait!
la floride et l'ohio est capital pour un candidat !
si en Ohio Obama n'a qu'un point de retard sur McCain
en floride il peux déjà laisser tomber!
entre 10 a 20 points de retard sur McCain!
Kerry a perdu a cause de la floride et surtout l' Ohio.
Al Gore a perdu a cause de la floride!
que doit faire Obama pour être président même si il perd ses deux états?
la réponse ? gagner les 3 étatsN
LES 3 états N ??
Nevada
nouveau mexique
New Hampshire
3 états très important
si dans le nouveaux mexique ca semble bon pour l'instant pour Obama qui a 9 points sur McCain
si dans le New Hampshire ca semble bon pour l'instant pour Obama qui a 5 points sur McCain
dans le Nevada sa semble mal partit Obama a 6 points de retard sur McCain.
que doit faire Obama si il remporte les 2 états sur 3 ?
obliger de gagner le colorado , l'iowa
et essayer de remporter soit le misourri soit la virginie ou la géorgie! voir les 3 !
la encore une fois dans le colorado il a 6 points sur mccain
iowa il a 7 points sur mccain
missouri il a 1 point d'avance
en virginie il vient de passé devant McCain d'un point
mais en géorgie il a 10 points de retard .
maintenant il est aussi interdit a Obama de perdre le wisconsin , le new jersey , la pennsylvanie , le michigan , l'oregon et le michigan
celui qui pensais que le 4 novembre aurais été un raz de marée d'état bleu se trompe !
________________________________________________________
McCain laisse tombé l' Iowa un état pourtant rouge
si l'iowa est un état rouge et il presque perdu a McCain
d'ailleur il fait même plus campagne.
avec les inondations Obama a été dans l' iowa et n'a pas u peur de se salir les mains!
et il a été montré a qu'elle point Obama y est très populaire .
McCain a juste fait un petit discour pour dire qu'il était triste pour eux!
pourtant nié l'iowa est risquer pour le camp républicain
Obama l'a compris et y va souvent.
l'iowa fait naitre de nouveaux candidat aussi
Bill clinton et d'autre ont été président graçe a l'iowa!
Obama va peut être suivre le même chemin
l'iowa un état qu'obama doit beaucoup de choses et il le sait!
John McCain, assurément le moins politiquement correct
http://tf1.lci.fr/infos/elections-usa/0 ... rect-.html
Obama blâme les pères noirs pour rassurer les... Blancs
http://tf1.lci.fr/infos/elections-usa/0 ... bama-.html
Barack Obama fait la leçon aux pères de famille noirs
Barack Obama a appelé dimanche les pères noirs à s’impliquer plus dans l’éducation de leurs enfants et à être plus présents dans leur foyer, rapporte L’International Magazine. « Ils ont abandonné leurs responsabilités, agissant comme des enfants plutôt que comme des hommes. Et à cause de ça, les fondements de nos familles sont plus fragiles », a déclaré le candidat démocrate pour la présidentielle américaine, qui s’exprimait le jour de la fête des pères
http://tf1.lci.fr/infos/elections-usa/0 ... rect-.html
Obama blâme les pères noirs pour rassurer les... Blancs
http://tf1.lci.fr/infos/elections-usa/0 ... bama-.html
Barack Obama fait la leçon aux pères de famille noirs
Barack Obama a appelé dimanche les pères noirs à s’impliquer plus dans l’éducation de leurs enfants et à être plus présents dans leur foyer, rapporte L’International Magazine. « Ils ont abandonné leurs responsabilités, agissant comme des enfants plutôt que comme des hommes. Et à cause de ça, les fondements de nos familles sont plus fragiles », a déclaré le candidat démocrate pour la présidentielle américaine, qui s’exprimait le jour de la fête des pères
mauvais signe?
Le démocrate Barack Obama devance légèrement le républicain John McCain
Selon un sondage pour le Washington Post, le sénateur de l'Illinois est crédité de 48% d'intentions de vote, contre 42% pour son adversaire républicain. Le même écart séparait,il y a quatre ans, John Kerry et George W. Bush.
Le démocrate Barack Obama devance légèrement le républicain John McCain
Selon un sondage pour le Washington Post, le sénateur de l'Illinois est crédité de 48% d'intentions de vote, contre 42% pour son adversaire républicain. Le même écart séparait,il y a quatre ans, John Kerry et George W. Bush.
Rassurant pour ObamaD.Zitka a écrit :mauvais signe?
Le démocrate Barack Obama devance légèrement le républicain John McCain
Selon un sondage pour le Washington Post, le sénateur de l'Illinois est crédité de 48% d'intentions de vote, contre 42% pour son adversaire républicain. Le même écart séparait,il y a quatre ans, John Kerry et George W. Bush.
!!!!!Quand Obama parle d’Oussama
Barack Obama ne croit pas avoir à recevoir des leçons des républicains sur la lutte contre le terrorisme. Réagissant aux critiques du camp McCain, le candidat démocrate a accusé le GOP d’avoir contribué à orchestrer une guerre «inutile» - celle d’Irak - «à un moment où nous aurions pu capturer ceux qui ont vraiment commis (les attentats) du 11 septembre». Selon Obama, Oussama ben Laden est toujours au large en raison de l’ineptie des républicains.
Ce matin, le camp McCain a accusé Obama d’avoir «une mentalité du 10 septembre» à la suite de ses commentaires sur le traitement des détenus soupçonnés de terrorisme.
pour info McCain commence comme Bush quand il étais contre Kerry en disant que l'amérique a des nouvelles menace ! ont va voir si les ricains vont se faire avoir une deuxième fois
Barack Obama ne croit pas avoir à recevoir des leçons des républicains sur la lutte contre le terrorisme. Réagissant aux critiques du camp McCain, le candidat démocrate a accusé le GOP d’avoir contribué à orchestrer une guerre «inutile» - celle d’Irak - «à un moment où nous aurions pu capturer ceux qui ont vraiment commis (les attentats) du 11 septembre». Selon Obama, Oussama ben Laden est toujours au large en raison de l’ineptie des républicains.
Ce matin, le camp McCain a accusé Obama d’avoir «une mentalité du 10 septembre» à la suite de ses commentaires sur le traitement des détenus soupçonnés de terrorisme.
pour info McCain commence comme Bush quand il étais contre Kerry en disant que l'amérique a des nouvelles menace ! ont va voir si les ricains vont se faire avoir une deuxième fois
Les proches de McCain et Obama s'empoignent sur le terrorisme
Mentalité du 10 septembre» contre adhésion au bilan de l'administration Bush: les attaques pleuvaient mardi entre les conseillers des adversaires de la présidentielle américaine sur la façon de mener la guerre contre le terrorisme.
Un entretien accordé lundi par le démocrate Barack Obama a mis le feu aux poudres. Il y a notamment fait valoir que l'imbroglio juridique autour du centre de détention de Guantanamo avait «détruit notre crédibilité quand il s'agit de l'état de droit à travers le monde, et donné un énorme coup de pouce au recrutement des terroristes».
«Ce que nous savons c'est que lors de précédents attentats, par exemple le premier attentat contre le World Trade Center (en 1993, ndlr), nous avons pu arrêter les responsables, les juger, ils sont actuellement dans des prisons américaines hors d'état (de nuire)», a-t-il ajouté sur la chaîne de télévision ABC.
L'équipe du républicain John McCain a rapidement réagi, en accusant M. Obama d'avoir une mentalité du «10 septembre», c'est-à-dire de raisonner comme si les attentats du 11 septembre 2001 à Washington et New York n'avaient pas eu lieu.
«Il (fonde) ses décisions sur le mauvais jugement, la faiblesse, l'incompréhension de la nature de nos adversaires et des dangers qu'ils représentent», a asséné Randy Scheunemann, principal conseiller de politique étrangère de John McCain.
«S'il recevait le (fameux) coup de téléphone (rouge de la Maison Blanche) de 3 heures du matin, sa réaction serait d'appeler les juristes du ministère de la Justice», a-t-il ajouté, dans une allusion à un spot de l'ex-candidate Hillary Clinton.
Le sénateur démocrate John Kerry, un partisan de M. Obama, a rétorqué que «ce que John McCain a fait, c'est se lier au bilan de Bush sur le terrorisme, qui est un échec complet».
Mentalité du 10 septembre» contre adhésion au bilan de l'administration Bush: les attaques pleuvaient mardi entre les conseillers des adversaires de la présidentielle américaine sur la façon de mener la guerre contre le terrorisme.
Un entretien accordé lundi par le démocrate Barack Obama a mis le feu aux poudres. Il y a notamment fait valoir que l'imbroglio juridique autour du centre de détention de Guantanamo avait «détruit notre crédibilité quand il s'agit de l'état de droit à travers le monde, et donné un énorme coup de pouce au recrutement des terroristes».
«Ce que nous savons c'est que lors de précédents attentats, par exemple le premier attentat contre le World Trade Center (en 1993, ndlr), nous avons pu arrêter les responsables, les juger, ils sont actuellement dans des prisons américaines hors d'état (de nuire)», a-t-il ajouté sur la chaîne de télévision ABC.
L'équipe du républicain John McCain a rapidement réagi, en accusant M. Obama d'avoir une mentalité du «10 septembre», c'est-à-dire de raisonner comme si les attentats du 11 septembre 2001 à Washington et New York n'avaient pas eu lieu.
«Il (fonde) ses décisions sur le mauvais jugement, la faiblesse, l'incompréhension de la nature de nos adversaires et des dangers qu'ils représentent», a asséné Randy Scheunemann, principal conseiller de politique étrangère de John McCain.
«S'il recevait le (fameux) coup de téléphone (rouge de la Maison Blanche) de 3 heures du matin, sa réaction serait d'appeler les juristes du ministère de la Justice», a-t-il ajouté, dans une allusion à un spot de l'ex-candidate Hillary Clinton.
Le sénateur démocrate John Kerry, un partisan de M. Obama, a rétorqué que «ce que John McCain a fait, c'est se lier au bilan de Bush sur le terrorisme, qui est un échec complet».
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